Photolangage

Ou comment utiliser la photo en formation et en thérapie

DOI : 10.35562/canalpsy.1230

p. 7-9

Outline

Text

Créé en 1965 par un groupe de psychologues lyonnais (Claire Belisle et Alain Baptiste)1, le Photolangage2 a été initialement mis au point pour faciliter l’expression de jeunes adolescents originaires de milieux défavorisés, qui avaient des difficultés à communiquer leur expérience. L’idée de proposer à ces jeunes des photographies de différents photographes, pour s’exprimer en groupe, est au départ purement intuitive. Les effets de la méthode dépassèrent les résultats escomptés et, très vite, la méthode s’étendit au domaine de la formation des adultes, en France et à l’étranger.

Une des caractéristiques de la méthode est que l’animateur choisit, lui aussi, une ou plusieurs photos, qu’il présente dans le groupe, participant ainsi aux échanges groupaux et favorisant, autant que faire se peut, le jeu des identifications. Cet aspect de la méthode paraît particulièrement important dans les groupes de patients à l’hôpital psychiatrique ou en milieu de soin, groupes auxquels participent plusieurs soignants, qui co-animent avec le Psychologue.

L’adaptation de la méthode au domaine thérapeutique nécessite quelques aménagements, le principal étant le nombre des participants. En formation, le travail s’adresse à un groupe restreint de 12 à 15 participants ; en thérapie, il est de 6 à 8 malades en moyenne, les soignants étant au nombre de deux ou trois. De plus, le fait de travailler en formation en session groupée sur 3 ou 4 jours, induit un type de travail différent de la longue et lente évolution des patients qui viennent une heure ou une heure et demie chaque semaine participer au groupe Photolangage qui leur est proposé dans l’institution. Enfin, si la durée d’une séance n’est que d’une heure en moyenne dans le domaine du soin, une séance de formation d’adultes est en moyenne de deux heures – il peut arriver que la prise en charge d’un grand groupe d’adultes en formation (30 personnes) nécessite une co-animation (homme-femme) et un travail en alternance grand groupe – petit groupe.

Déroulement d’une séance de Photolangage

Une séance se déroule en deux temps : le temps du choix personnel d’une ou plusieurs photos, le temps des échanges en groupe.

Après que l’animateur ait énoncé la consigne3 qui lance la séance, le premier temps se déroule dans le silence nécessaire au choix fait posément par chacun. Chaque participant se laisse ainsi interpeller par les photos, il choisit du regard, laissant ainsi toutes les photos à la disposition des autres membres du groupe. Lorsque tout le groupe a choisi, l’animateur invite les personnes à venir prendre leur photo à la main en précisant bien : « sans changer de choix, si quelqu’un d’autre a pris la même photo que vous, et s’en est déjà saisi, vous retrouverez votre photo dans le groupe ».

Le deuxième temps commence lorsque tous les participants se retrouvent assis en cercle leur photo à la main. L’animateur rappelle alors l’heure de la fin de la séance, signifiant ainsi que ce temps est à partager en groupe. Il est précisé que chacun présente sa photo au groupe quand il le désire, en s’articulant éventuellement sur ce qui vient d’être dit d’une photo. Il est recommandé d’accorder la meilleure écoute possible à la présentation d’une photo, puis d’intervenir si on le souhaite, pour dire ce que l’on voit de semblable ou de différent sur cette photo. Cette consigne est importante, car elle permet d’éviter toutes les interventions qui risqueraient d’être intempestivement interprétatives. De plus, elle insiste sur le fait que l’on n’intervient pas à propos de la personne, mais à propos de la photo présentée, ce qui confère à la photo une place d’objet médiateur, en tierce position entre le sujet et le groupe.

Avec le Photolangage, l’animateur intervient sur un mode participatif, mais non directif. Il est garant du cadre et peut être amené à dire, en cas de dérive de la part d’un participant ou du groupe : – soit : « revenons à la question, en l’occurrence la consigne qui a été énoncée en début de séance », – soit : « et si nous revenions aux photos ? ». En s’appuyant ainsi sur les éléments spécifiques à cette méthode, l’animateur pose un dispositif dont les limites sont : – d’une part le processus secondaire : la consigne à laquelle on est amené à réfléchir, à penser, en raisonnant logiquement, – et d’autre part le processus primaire : la photo qui est une image externe en lien avec nos images intérieures, nos affects et nos perceptions, ce qui nous amène à résonner analogiquement. Afin d’articuler cette brève présentation de la méthode à des pratiques cliniques, je me propose de rapporter deux séquences de groupes, l’une en formation et l’autre en thérapie.

Un groupe d’adultes en formation

La première séquence est celle d’un groupe d’adultes en formation, dont l’objectif est le développement personnel. Ce jour-là, la consigne est : « que signifie pour vous communiquer ? Dites-le à l’aide d’une photo ». Je propose les photos du dossier : Corps et communication.

La séance dure deux heures et se déroule normalement, les participants connaissent déjà la méthode. Il ne reste plus qu’une participante qui n’a pas encore présenté de photo. Il s’agit de Catherine qui dit : « Si je n’ai pas présenté ma photo plus tôt, c’est que je me suis bien demandé pourquoi j’avais choisi cette photo pour parler de communiquer  » (elle nous la montre). Sa photo représente un homme vu de dos, assis dans un canoë, il tient une pagaie du côté gauche avec laquelle il rame. Il porte un chapeau et une barbe. Derrière lui, posés dans le canoë, on distingue des toiles ou des peaux d’animaux. La surface de l’eau est plane, il est sur un lac. À l’horizon, on distingue dans le lointain des forêts, qui apparaissent un peu plus sombres et qui bordent le lac.

Pour moi, ce qui émane de cette photo c’est une ambiance de calme et de solitude à la fois, dans une nature qui s’étend à perte de vue. Catherine poursuit :

« La question de ce matin m’a dérangée, car j’ai fait cette nuit un rêve où il était question d’incommunicabilité, et j’étais toujours dans cette sensation désagréable quand je suis arrivée ce matin. Alors parler de communiquer je n’en avais pas envie, ça m’était difficile et puis je me suis aperçue que ma photo, pour parler de communiquer, cet homme seul, je me demandais pourquoi je l’avais choisie. J’ai pensé, pour communiquer il faut être plusieurs. Et puis au fur et à mesure que j’écoutais les autres présenter leur photo, j’ai découvert que j’avais des choses à dire de mon choix. D’abord, je sens bien que cet homme il communique avec la nature, et puis j’ai vu ensuite ces peaux de fourrures derrière lui, c’est peut-être un trappeur et ça m’a fait penser qu’hier j’ai cherché toute la journée un anorak pour cet hiver. J’en ai essayé plusieurs et je n’ai rien trouvé qui me plaisait vraiment, alors je me suis dit que l’ancien ferait bien l’affaire encore cette année. »

Un court silence s’installe et un participant dit : « tu as parlé de trappeur, moi en voyant ta photo, j’ai pensé à passeur. J’ai immédiatement pensé à une pancarte que j’ai remarquée au bord de la Saône sur laquelle était écrit : PASSEUR. Elle était à la hauteur d’une île et ça m’a fait rêver. J’ai imaginé des gens qui allaient sur cette île au milieu du fleuve, là il y a un restaurant. Ils étaient joyeux d’y aller et d’en revenir grâce au passeur. Une autre participante prend alors la parole et dit : « pour moi, le passeur c’est plutôt péjoratif, il n’est ni là, ni ailleurs, on ne sait jamais où il est, sur quel bord et on est obligés de faire appel à lui, on est dépendant de lui ». Une autre participante intervient : « oui, mais il faut drôlement lui faire confiance, pour lui confier sa vie ». Un autre membre du groupe : « ça me fait penser au passeur qui faisait passer la ligne de démarcation pendant la guerre et qui connaissait bien la nature, le moindre sentier ».

À ce moment-là le groupe s’installe dans une discussion sur la relation de l’homme à la nature. Des échanges assez passionnés s’instaurent. Chacun défend ses positions. Il est question de différence ou non entre communier ou communiquer avec la nature, et puis est-ce la même chose communiquer avec la nature ou communiquer avec quelqu’un ? Catherine écoute, tout en pensant en même temps à son propos, et soudain son visage s’éclaire, le débat s’épuise, elle dit :

« Justement j’étais en train de penser que mon grand-père a été passeur pendant la guerre ; il faisait passer les gens en zone libre. C’était mon grand-père paternel. Dans mon rêve de cette nuit, il y avait mon père. On était tous les deux et on devait aller à Thurins dans le Rhône. Il nous fallait une carte pour nous diriger, pour y parvenir et mon père arrivait avec une carte de Turin, en Italie. J’étais en colère contre lui, on regardait cette carte, ça ne voulait rien dire, ça ne correspondait à rien. C’était insensé. Quel malentendu, quel malaise. J’enrageais contre ce manque de communication avec lui. » (Silence.)

Elle ajoute : « Maintenant que j’ai parlé de tout ça et avec tout ce que vous m’avez dit aussi de ma photo, je me sens apaisée et puis ma photo qui me semblait si éloignée de la consigne, je m’aperçois que finalement c’était bien ça, avec tout ce qu’on en a dit ». Lors d’une séance ultérieure, sans que nous en sachions davantage, Catherine dira : « Cette séance a été très importante pour moi ».

On perçoit bien le désarroi de Catherine devant son choix de photo et le malaise intérieur qui perdure depuis son rêve et depuis son réveil. Elle montre à quel point son choix de photo s’est fait d’une manière peu raisonnée, mais plutôt en résonance avec une réalité interne, qui n’est jusque-là que préconsciente. Y aurait-il, de plus, des analogies non perçues entre les images de son rêve, des souvenirs et la photo proprement dite ?

Dans le groupe, qui, nous dit Didier Anzieu, fonctionne comme le rêve, la chaîne associative utilise la condensation et le déplacement. La chaîne associative groupale se déploie, à partir des perceptions de la photo, exprimées tour à tour par plusieurs participants. Le personnage du trappeur sur la photo condense les personnages du passeur, du grand-père et du père, qui sont constitutifs de l’imago paternelle de Catherine. Le groupe apparaît comme un lieu de dépôt et de délégation, Catherine y déposant, par l’intermédiaire de sa photo, ses représentations préconscientes – le groupe, utilisant le même objet médiateur, va associer maillon par maillon, ainsi la chaîne associative se déploie, jusqu’au moment où Catherine accède à une véritable prise de conscience. Catherine délègue au groupe la fonction de liaison par la pensée, ceci se manifeste quand elle dit : « mon grand-père était passeur », comme si l’image lui avait parlé d’emblée sans qu’elle puisse identifier de quoi il s’agit, jusqu’au moment où le groupe le lui fait entendre. La photo s’est imposée à elle, par le biais d’une mobilisation des processus primaires, par l’intermédiaire d’une « pensée en image » comme le dit Freud dans Le Moi et le ça, mais aussi pensée en affect, si j’ose dire.

Un groupe d’adultes en thérapie

L’autre exemple que je propose concerne une patiente psychotique4 dans un groupe de Photolangage en Institution. Sylvia a une cinquantaine d’années, elle fait de fréquents séjours à l’hôpital psychiatrique, en particulier au moment des fêtes de fin d’année. L’équipe l’accueille à chacun de ses séjours dans le groupe Photolangage, qui se réunit chaque semaine dans le service. À chacun de ses retours, Sylvia choisit la même photo d’une femme souriante et accroupie, au visage avenant et au regard chaleureux. De son choix elle dit très peu de choses et commente toujours sa photo de la même façon, ressassant son histoire et son choix de photo avec les mêmes discours. L’équipe soignante finit par se lasser de son attitude et l’idée est même émise de l’empêcher de reprendre une nouvelle fois cette photo. La psychologue tient bon. Elle souhaite faire respecter les règles du jeu. Sylvia, comme les autres patients restera libre de son choix et présentera sa photo selon ses possibilités du moment. Tant pis si son discours apparaît toujours aussi défensif et peu appliqué. Pourtant, l’équipe connaît bien l’histoire de Sylvia. Originaire d’Amérique du Sud, elle a perdu sa mère quand elle était jeune. Elle était l’aînée et c’est elle qui a élevé une dizaine de frères et sœurs, dont un bébé, son dernier frère, qui n’avait que quelques mois au décès de sa mère. Sylvia a subi des traumatismes à répétition, ayant perdu un frère adolescent et une sœur handicapée, après que son père soit mort lui aussi. Comment penser autant de souffrances répétées ? Sylvia sombre dans la dépression et fait plusieurs tentatives de suicide. Le service la suit depuis plusieurs années et lui accorde de rentrer chez elle, malgré une grande solitude, chaque fois qu’elle va mieux. Et pourtant, ses hospitalisations semblent répéter quelque chose de son histoire, comme se répète inlassablement pour elle, le choix d’une même photo, quelles que soient la consigne et la variété des photos proposées.

Un jour, Sylvia aborde cette photo d’une manière nouvelle, qui provoque en elle et dans le groupe une vive émotion. Elle parle de sa mère, de son regard chaleureux, de son attitude calme et patiente et reconnaît pour la première fois le lien entre cette image qui s’est toujours imposée à elle et les souvenirs qu’elle garde de sa mère, de cette époque où elle était « heureuse et ouverte aux autres ». Elle dit bien que cette photo a fait « tilt dès le départ », mais elle n’a pu faire l’économie de ce long temps de latence avant qu’elle puisse en parler. Cette photo l’interpellait incontestablement, mais Sylvia n’était pas encore assez forte pour laisser venir les représentations dont elle était porteuse. Le deuil et l’angoisse de mort l’auraient envahie et la douleur aussi. Alors, il lui a fallu toutes ces séances de groupe avant de franchir le seuil de la prise de conscience. Sans doute fallait-il aussi que soit instaurée une grande confiance dans l’équipe et dans le groupe dans lequel elle revenait, à chaque nouvelle hospitalisation. Une autre hypothèse permet de penser qu’il a fallu que l’équipe en arrive à vouloir lui faire violence en lui interdisant le choix de « sa » photo, pour que dans les semaines qui suivent, elle puisse enfin parler des évènements, qui lui avaient fait violence à elle. Quoi qu’il en soit, le cas de Sylvia témoigne de cet effet de découverte de soi à travers les images associées à une photo, qui nous mobilise et nous attire sans que l’on sache de prime abord pourquoi.

Ce moment de remémoration ayant permis à Sylvia de relier la représentation à l’affect, elle accède à une autre phase plus élaborative. Depuis cette séance, en effet, elle choisit des photos différentes, en particulier des photos de femmes, auxquelles elle dit pouvoir un peu s’identifier. Au fil du temps Sylvia a même changé d’apparence physique. Au départ, elle ressemblait à une adolescente. Perdue dans un grand pull-over marine, les cheveux longs et défaits et le jean qui lui donnaient une allure asexuée, ont fait place à une nouvelle coupe de cheveux et une allure plus féminine et plus soignée.

En mettant en parole les images de sa mère, Sylvia entame un travail psychique de deuil, qui, peu à peu, redonne vie et sens aux objets perdus, mais intériorisés. L’image d’elle-même est liée à ces images intérieures des objets aimés et conservés au-dedans de soi. Dans son cas, la photo semble bien avoir permis un déblocage des deuils enfouis, enkystés en elle, restés jusque-là des deuils non faits. Le travail psychique que nécessite le deuil s’est ancré dans l’image photographique après qu’un long temps de latence, ait maintenu le lien aux représentations préconscientes mais non encore conscientes de sa relation aux objets perdus.

Quelques éléments de théorisation

Issues de deux contextes différents, ces deux séquences avec des publics dont le fonctionnement mental est bien distinct, témoignent pour l’essentiel de processus qui présentent des analogies. En effet dans un cas comme dans l’autre, le sujet est surpris ou plutôt se laisse prendre par son choix de photo, à condition bien sûr qu’il ait accepté à un moment donné de se déprendre de ses défenses et de ses mécanismes raisonneurs, pour laisser place à ses sentiments, ses émotions. Il apparaît bien que l’image et l’affect forment un couple inséparable. C’est lorsque le processus secondaire (la représentation de mot) se relie au processus primaire (la représentation de chose) qu’un travail psychique de liaison s’amorce. La photo est mobilisatrice du processus primaire par l’intermédiaire du préconscient, donc de l’imaginaire du sujet. On a vu l’importance de l’articulation entre l’imaginaire du sujet et l’imaginaire du groupe, par le biais de la chaîne associative groupale. Il est vraisemblable que les interventions des autres membres du groupe auquel appartient Sylvia, les paroles des autres patients ou des soignants ne sont sans doute pas restées sans effet, s’agissant de ce qu’ils ont pu dire de sa photo bien évidemment. À propos d’une photo, les images et les idées proposées par les autres peuvent avoir une fonction de révélation d’une dimension cachée, restée latente, derrière le discours manifeste de celui qui présente sa photo. La primauté du visuel fait que nos images intérieures sont liées en priorité au vu par rapport à l’auditif, l’olfactif, le tactile. Ces images intérieures sont convoquées par association, par contiguïté et par analogie. Il n’est pas rare qu’une photo évoque un bruit, une odeur, une musique. Elles font partie du champ des perceptions qui caractérisent le processus primaire au plus près d’un vécu corporel inscrit en nous, sous forme de traces mnésiques et de charges affectives. La représentation de chose dont parle Freud dans L’interprétation des rêves est faite de cet ensemble complexe : image-affect-percept.

Conclusion

Proposer des photos pour dire et non des photos pour illustrer, c’est bien ce qui mobilise les photographes et ce qui fait de leur recherche de sens un art parmi d’autres, dont la puissance évocatrice vaut bien celles de la peinture ou de la sculpture. Les photos sont facilitatrices de la communication dans le groupe, car elles nous sollicitent, nous parlent au-delà des mots et de la rationalité. Il est clair aussi que certaines ne nous disent rien, au moment où elles nous sont présentées, tellement rien que certains participants disent ne pas les avoir vues sur les tables, lors du temps du choix personnel. Au contraire, lorsqu’une photo s’impose à nous, c’est que, de son état de photo elle est devenue pour nous une image et qu’elle s’adresse à nous avec force, en référence à nos images intérieures. Alors, si nous acceptons de nous laisser entraîner dans l’au-delà des mots, le langage des images peut permettre à chacun d’entre nous formateur, stagiaire, patient ou simple participant, d’accéder à un espace de liaison, un lieu de mise en sens générateur de changement, de nouvelles représentations voire même d’un véritable travail thérapeutique.

1 Claire Belisle et Alain Baptiste sont co-directeurs de la collection.

2 Le terme de Photolangage utilisé comme un nom propre désigne à la fois la méthode elle-même et les dossiers de photos en noir et blanc (48 photos)

3 L’animateur propose une consigne du style : « Choisissez la photo qui vous plaît le plus ou la photo qui vous déplaît le plus », ou « Dites à l’

4 Le cas de cette patiente est présenté par Monique Molho dans le collectif intitulé : Photolangage. Une méthode pour communiquer en groupe par la

Notes

1 Claire Belisle et Alain Baptiste sont co-directeurs de la collection.

2 Le terme de Photolangage utilisé comme un nom propre désigne à la fois la méthode elle-même et les dossiers de photos en noir et blanc (48 photos) publiés et vendus en librairie. Le mot Photolangage est sous copyright.

3 L’animateur propose une consigne du style : « Choisissez la photo qui vous plaît le plus ou la photo qui vous déplaît le plus », ou « Dites à l’aide d’une photo ce que vous souhaiteriez faire plus tard », ou « Choisissez la photo, qui évoque le mieux un bon souvenir pour vous ».

4 Le cas de cette patiente est présenté par Monique Molho dans le collectif intitulé : Photolangage. Une méthode pour communiquer en groupe par la photo, dans le chapitre V, sous la direction dc C. Vacheret, Éd. Organisation, 1991.

References

Bibliographical reference

Claudine Vacheret, « Photolangage », Canal Psy, 42 | 2000, 7-9.

Electronic reference

Claudine Vacheret, « Photolangage », Canal Psy [Online], 42 | 2000, Online since 26 mai 2021, connection on 16 avril 2024. URL : https://publications-prairial.fr/canalpsy/index.php?id=1230

Author

Claudine Vacheret

Maître de conférences à l’Université Lyon 2

Author resources in other databases

By this author