Pratiques et formes littéraires https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires Pratiques et formes littéraires 16-18 est une revue éditée par le Groupe d’Analyse de la Dynamique des Genres et des Styles (GADGES), intégré depuis 2016 à l’IHRIM (Institut d’Histoire des Représentations et des Idées dans les Modernités), UMR CNRS 5317. La vocation de la revue est l’étude de l’évolution des pratiques discursives et éditoriales caractérisant la production littéraire en France entre le XVIe et le XVIIIe siècle. fr Appel à contributions du no 24, 2027, de la revue PFL  : « Injure, insulte et invective (xvie-xviie siècle https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=752 Si Jacques Tahureau revendique dans ses Dialogues (posth. 1565) la « hardiesse de bien parler », tout en s’en prenant aux « pipeurs de merde », Furetière, plus d’un siècle plus tard, définit dans son Dictionnaire universel (1690), l’injure comme une « parole qu’on dit pour offenser quelqu’un, en luy reprochant quelque defaut, ou quelque vice vray ou faux ». Le lexicographe y rappelle aussi l’étymologie de l’injure (injuria, « ce qui se fait sans raison, sans justice ») et donne la mesure du vaste champ couvert par les propos insultants et leurs contextes d’énonciation, depuis les libelles diffamatoires, les scènes de combat militaires, les algarades de rue ou les discours passés au crible de la rhétorique. Comment définir les injures et quels termes s’en rapprochent aux XVIe et XVIIe siècles ? Quelles sont les formes que peut prendre la violence verbale lorsqu’elle est adressée ? Injure, insulte, invective : ces trois termes, qui ne sont pas synonymes, semblent avoir en commun de circonscrire le domaine de l’affront verbal et de témoigner, par le préfixe « in- » qu’ils partagent, du mordant d’une violence illocutoire choisie pour blesser l’adversaire. L’injure, comme l’insulte d’ailleurs, se caractérise par « la nomination de l’autre (ou sa catégorisation, son étiquetage) et le fait que cette nomination soulève le problème de sa justice ou de sa justesse »1. Pourtant l’injure ne signale pas nécessairement la fin de l’échange : au contraire, elle fonctionne souvent « comme un lun., 24 nov. 2025 00:00:00 +0100 https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=752 Introduction : Historicités comiques https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=659 Le rire est-il soumis à la contingence du temps ou est-il une donnée permettant de le transcender ? La mise en parallèle de deux versions d’un même libelle satirique, paru la première fois en 1619 sous le titre Advis du Gros Guillaume sur les affaires de ce temps, puis en 1623 avec l’intitulé Raillerie de Gros Guillaume. Sur les affaires de ce temps, met en lumière que ce ne sont apparemment pas les éléments plaisants qui demandent le plus de réactualisations : J’entends ce me semble un vieil Advocat crotté ses lunettes en main, son sac & la queüe de l’autre, qui se tourmente, se travaille l’esprit que fera le Roy ? D’Espernon est bien fort. Le Roy n’a point de finances & mesme la bourse du Roy à la sienne & pense qu’à [ce] que le Roy n’a demandé son advis, que toutes choses ne peuvent reüssir. Un Procureur affairé dira, au Diable d’Espernon nous avons bien affaire de guerre, la bourse se desgarnit […]1. J’entends ce me semble un vieil Advocat crotté ses lunettes en main, son sac & sa queuë de l’autre qui se tourmente, se travaille l’e[s]prit, que fera le Roy ? mais on luy ferme le passage de l’Italie […], n’est-il pas temps de se relever, l’Angleterre s’est unie avec l’Espagne, le Roy n’a point de finance, un Procureur afferé dira, au diable l’Espagnol, nous avons bien affaire de guerre, la bourse se desgarnit […]2. Dans ces deux extraits, les types comiques (l’avocat crotté et le procureur affairé) ne changent pas, tandis que les références à la situation politique du pays ven., 20 sept. 2024 00:00:00 +0200 https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=659 Contribution de Laurent de Laffemas à la Fronde et au burlesque : des Feuillantines à l’Énéide « accommodée à l’histoire du temps » https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=704 La présente étude s’intéresse à la contribution de Laurent de Laffemas à la Fronde et au burlesque. Ce fils du fameux « bourreau de Richelieu », Isaac de Laffemas, auteur de pamphlets en vers burlesques et de parodies de Virgile, n’a signé aucune de ses œuvres, mais sa notoriété était telle que ses contemporains en ont parlé abondamment, que ce soit Tallemant dans ses Historiettes, Loret dans sa Muse historique ou Gabriel Naudé dans son Mascurat. De sa chanson des Feuillantines à son Virgile goguenard en passant par sa Lettre, a Monsieur le cardinal, burlesque, sa poésie se caractérise par les jeux de mots, les allusions à l’actualité et un regard amusé devant la folie des hommes. This study aims to bring together the contributions of Laurent de Laffemas to the Fronde and burlesque poetry. This son of the famous « bourreau de Richelieu », Isaac de Laffemas, author of satires and parodies of Virgil, did not sign any of his works, but he was notorious enough that his contemporaries mentioned him on numerous occasions, either Tallemant in his Historiettes, Loret in his Muse historique, or Gabriel Naudé in the Mascurat. From the song of the Feuillantines to his Virgile goguenard, including the famous Lettre, a Monsieur le cardinal, burlesque, his poetry is characterized by the use of play on words, hints to recent events and a point of view that laughs at men’s foolishness. lun., 09 sept. 2024 00:00:00 +0200 https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=704 Les affaires du temps relatées par Loret dans La Muse historique : portée et postérité d’anecdotes en vers burlesques (1650 – 1652) https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=714 À partir de 1650, Jean Loret commence la publication de sa Muse historique, gazette en vers burlesques qui sera publiée chaque semaine jusqu’à sa mort en 1665. Contrairement à la Gazette de Renaudot, le but de Loret est d’offrir à ses lecteurs un véritable divertissement et, comme il vise le delectare, il lui faut trouver une forme particulière pour traiter de l’actualité. Le succès incontestable de son entreprise au xviiᵉ siècle est marqué par le nombre et la qualité de ses lecteurs, et par le fait que cette gazette devienne rapidement un modèle, pour Scarron notamment. Les épîtres rédigées pendant les premières années sont en grande partie consacrées à la Fronde, ce qui permet d’examiner les modalités de la raillerie ainsi que le regard porté sur les différents acteurs et événements de l’Histoire. Cependant, rire des affaires du temps n’est pas toujours une entreprise facile et Loret ne cesse de se plaindre de la censure. From 1650, Jean Loret began publishing his Muse historique, a gazette in burlesque verse which was published weekly until his death in 1665. Unlike Renaudot’s Gazette, Loret’s goal was to offer his readers genuine entertainment and, as his aim was delectare, he needed to find a distinctive form to deal with current events. The undeniable success of this undertaking in the 17th century was marked by the number and the status of his readers, and by the fact that this gazette quickly became a model, most notably for Scarron. The epistles written during the first years are largely devoted to the Fronde, which makes it possible for us to examine the modalities of mockery as well as the view taken on the different actors and events of History. However, laughing at the affairs of the time is not always an easy undertaking and Loret never ceased to complain about censorship. lun., 09 sept. 2024 00:00:00 +0200 https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=714 Traduire la satire : Il Divortio celeste et Ferrante Pallavicino en France de 1643 à l’an III https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=721 Cet article s’interroge sur les raisons du remarquable succès que connut en France le libelle satirique anonyme intitulé Il Divortio celeste (1643) qui raconte comment Jésus a décidé de divorcer de l’Église catholique. Envoyé sur terre pour recueillir des preuves contre l’épouse infidèle, saint Paul s’entretient avec plusieurs personnages représentatifs de la société italienne de l’époque qui dénoncent unanimement la corruption de la cour de Rome et la cupidité du pape Urbain VIII. Aujourd’hui, le libelle est couramment attribué à Ferrante Pallavicino, écrivain que le pape fit exécuter en 1644. Il Divortio a été très rapidement traduit en français dans deux versions différentes en 1644, dont l’article met en relief la nature « véhiculaire », avant de s’interroger sur le rapport temporel entre une information politique et son élaboration satirique, notamment en ce qui concerne la guerre de Castro (dernier chapitre du Divortio). L’article présente ensuite la traduction du libelle de 1696. Le traducteur, appartenant au cercle de Pierre Bayle, essaye de masquer la charge anticléricale du Divortio, en le présentant par prudence comme un libelle diffamatoire ancré dans le passé. À l’inverse, dans son ultime version en français qui date de l’an III de la Révolution (1794-1795), Il Divortio est ouvertement présenté comme une œuvre toujours actuelle, puisque les vices du clergé « sont à-peu-près les mêmes dans tous les tems ». This paper attempts to explain the impressive success enjoyed in France by the anonymous satirical libel Il Divortio celeste (1643). The latter tells us that Jesus has decided to divorce the Catholic Church. Sent to Earth to gather evidence against the unfaithful spouse, Saint Paul confers with several characters representative of contemporary Italian society who unanimously denounce the corruption of the Roman Court and the cupidity of pope Urban VIII. Nowadays the libel is currently ascribed to the writer Ferrante Pallavicino, that the pope had executed in 1644. Il Divortio was quickly translated into French, with to two different versions in 1644, of which the article stresses the “vehicular” essence, before questioning the temporal relationship between political information and its satirical elaboration, namely with regard to the War of Castro (Il Divortio's last chapter). The article concludes on the 1696 translation of the libel. Indeed, the author of this translation, belonging to Pierre Bayle’s circle, attempts to mask the anticlerical charge of Il Divortio by prudently presenting it as a defamatory libel rooted in the past. Quite the contrary, in its ultimate version dating to the year III of the French Revolution (1794-1795), Il Divortio is openly presented as a timeless work, since the vices of the clergy are “all the time almost the same”. lun., 09 sept. 2024 00:00:00 +0200 https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=721 La Muse normande de David Ferrand, le temps de l’œuvre, l’œuvre du temps (1621-1655) https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=672 Imprimeur-libraire de son état, David Ferrand (1590 ?-1660) fut aussi l’auteur de La Muse normande, une parution annuelle de pièces en vers, composée en langue purinique pour commenter et rire de l’actualité. Si le lien de ce corpus gros de plusieurs centaines de poèmes avec la petite et la grande actualité paraît évident, il s’estompe pourtant avec le temps qui passe, de sorte que l’Inventaire, qui paraît en 1655 et compile vingt ans de publication, engage un rapport différent avec des événements pour une large part déjà oubliés. Par les grandes étapes de sa genèse, l’œuvre témoigne par ailleurs de la manière dont ce dernier a prétendu passer du rôle de farceur, commentant les faits d’actualité, à celui d’« auteur » de la Muse normande, dont la vie entière aurait été consacrée à l’élaboration de ce monument, érigé à la mémoire d’un Rouen déjà disparu. A printer-bookseller by profession, David Ferrand (1590?-1660) was also a poet and a facetious author, who had the original concept, to print since 1621, each year, under the title of “La Muse normande”, booklets composed of pieces in verse and in purinic language to comment and laugh at current events. If the link between this corpus of hundreds of poems and the small and the big news seems obvious, it fades away as time goes by, so that the Inventory, which D. Ferrand published in 1655, compiling twenty years of publication, engages a different relationship with events that have already been largely forgotten. By the main stages of its genesis, the work of D. Ferrand testifies to the way in which he claimed to pass from the role of a joker, commenting on current events, to that of the true “author” of the “Norman Muse”, whose entire life would have been devoted to the development of this monument, erected in memory of the old city of Rouen. jeu., 05 sept. 2024 00:00:00 +0200 https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=672 Coq-à-l’âne et affaires du temps (1565-1622) https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=684 Pendant les guerres de Religion et au-delà, des auteurs anonymes se sont attaqués aux affaires du temps par le prisme du rire et de l’incohérence du coq-à-l’âne. Tous les camps du conflit – protestant, catholique, ligueur et politique – ont repris le genre inventé par Marot. Cet article cherche à mettre en lumière une sélection de ces textes peu connus pour aborder la question du lien entre le rire, le non-sens et l’actualité. Le coq-à-l’âne est souvent ancré dans une situation précise. Il s’agit d’intervenir dans les circonstances contemporaines par voie de polémiques violentes. Le coq-à-l’âne se relève être une pratique littéraire privilégiée pendant des décennies pour aborder des affaires du temps conflictuelles. During the French Wars of Religion and beyond, anonymous authors addressed current affairs through laughter and incoherence in a genre known as coq-à-l’âne. All sides of the conflict – Protestants, Catholics, the Catholic League and ‘Politiques’ – reappropriated this poetic form invented by Marot. This article seeks to bring a number of these little-studied pieces to light to address the issue of the link between laughter, nonsense, and current affairs. Coq-à-l’âne were often rooted in specific events during the wars. They tend to intervene in current affairs through violent polemics. For several decades, coq-à-l’âne became a significant means to address conflict-ridden times. jeu., 05 sept. 2024 00:00:00 +0200 https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=684 Réinvestissement d’un mandement joyeux français dans un almanach parodique néerlandais : résultats d’une enquête bibliographique https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=660 Dans cet article, nous proposons de montrer comment l’analyse de la matérialité du livre s’avère être une méthode efficace pour appréhender les circonstances de production de « mandements joyeux » (des parodies d’ordonnances royales ou épiscopales) imprimés au xviᵉ siècle, alors que celles-ci demeurent souvent très floues et difficiles à cerner. Nous prendrons comme exemple le mandement joyeux intitulé le Mandement de Carême. Nous démontrons tout d’abord comment les aspects bibliographiques et paratextuels permettent d’identifier que ce mandement joyeux fut probablement imprimé en 1546, pendant la Réforme, en France et à La Rochelle en particulier. Puis, nous montrons l’utilité de prendre en compte deux aires linguistiques différentes, néerlandophone et francophone, afin de mieux comprendre l’actualité dissimulée dans ces textes. En effet, le Mandement de Carême se retrouve aussi dans le Rijm almanach ende ghenerale prognosticatie, eewelijckduerende (1595) (« Almanach en rimes et pronostication générale et éternelle »), imprimé environ une décennie après les difficultés religieuses et politiques ayant frappé les Pays-Bas méridionaux dans la seconde moitié du xviᵉ siècle. Cet article met ainsi en lumière la circulation des mandements joyeux à une échelle européenne et l’existence d’un échange international de ces écritures comiques qui s’appuyaient sur le réinvestissement d’un même texte dans un autre contexte. In this article, I will show how material bibliography proves to be an effective method for apprehending the circumstances of production of “mandements joyeux” (parodies of royal or episcopal ordinances) printed in the 16th century, while these circumstances often remain very unclear and difficult to pin down. I will take as an example the mandement joyeux entitled the Mandement de Carême. I will first demonstrate how bibliographical and paratextual aspects of the mandement allow us to identify that this mandement joyeux was printed in 1546, during the Reformation in France and in La Rochelle in particular. Then, I will show the interest of taking into account two different linguistic areas, Dutch-speaking and French-speaking, in order to better understand the actuality hidden in these texts. Indeed, the Mandement de Carême is also found in the Rijm almanach ende ghenerale prognosticatie, eewelijckduerende (1595) (“Almanac in rhyme and a general and eternal prognostication”), printed following the religious and political difficulties that had hit the southern Low Countries in the second half of the 16th century. This article thus highlights the circulation of the mandement joyeux on a European scale and the existence of an international exchange of these parodic or comic writings that was based on the reinvestment of the same text in another context. ven., 30 août 2024 00:00:00 +0200 https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=660 Farces et mazarinades. Actualité d’une forme théâtrale comique pendant la Fronde https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=697 Cet article examine les manifestations et usages du modèle farcesque en France dans la première moitié du xviiᵉ siècle en proposant de décloisonner des corpus parfois isolés selon des critères génériques avec, d’une part, le théâtre et, d’autre part, les écrits polémiques. Cette méthode permet la mise au jour de la valeur esthétique et politique de la farce au cours de cette période. Après avoir considéré plusieurs pièces publiées au début du siècle, l’analyse se concentre sur la crise politique de la Fronde et s’attarde sur une étude de cas : La Farce des courtisans de Pluton (1649). Loin d’être en désuétude comme l’a parfois estimé l’histoire du théâtre, la farce apparaît comme une forme d’actualité dont le nom, les figures vedettes, les codes et les ressorts comiques sont exploités par ceux qui traitent des affaires du temps. This article examines the manifestations and uses of the farcical model in France at the beginning of the 17th century. Its proposes to decompartmentalize sets of texts sometimes isolated according to generic criteria : theater and polemical writings. This method reveals the aesthetic and political value of farce during this period. After considering several plays published in the first half of the century, the analysis focuses on the Fronde, with a case study : La Farce des courtisans de Pluton (1649). Far from being obsolete, as theater history has sometimes suggested, farce appears to be a topical form whose name, star figures, codes and comic devices are exploited by those dealing with the affairs of the time. lun., 12 août 2024 00:00:00 +0200 https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=697 Recommandations aux auteurs et autrices https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=108 Généralités Les langues acceptées par la revue sont le français et l’anglais ; Chaque article doit être accompagné de mots-clés (6 maximum) en français et anglais, ainsi que d’un résumé dans chacune des deux langues ; Les illustrations (images, reproduction de pages de livres anciens ou de manuscrit, etc.) sont fortement encouragées (voir plus loin pour la rédaction des légendes) ; Ne pas utiliser de feuille de style (sauf titrage). Un stylage spécifique de l’article sera réalisé pour la mise en ligne ; Saisir le texte en police classique (Arial, Garamond, Times, Times New Roman, Calibri, etc.), corps 12 ; Chaque paragraphe doit commencer par un alinéa, sauf après des citations détachées ; Ne pas prévoir de bibliographie par article. Donner les références bibliographiques complètes en note ; Merci d’indiquer les liens pour les ressources en ligne, qu’il s’agisse de bases contemporaines (OpenEdition, Cairn, Persée, etc.) ou pour les ouvrages anciens (Gallica, Google Books, etc.). Les liens seront transformés en hypertexte au moment du stylage pour la mise en ligne. Règles des mots-clés Éviter de mettre les mots du titre (ceux-ci étant généralement récupérés par les moteurs de recherche) en mots-clés ; Séparés par des virgules – Pas de majuscule à l’initiale – Pas de guillemets – Pas d’italique – Pas de point final – Employer le singulier sauf si une locution/un terme a une signification particulière au pluriel (ex. « guerres de religion ») – Si présence de noms de personnes, l lun., 17 juin 2024 00:00:00 +0200 https://publications-prairial.fr/pratiques-et-formes-litteraires/index.php?id=108