Le groupe, objet de recherche et espace de soin

DOI : 10.35562/canalpsy.1199

p. 4-6

Outline

Text

Le groupe n’est plus du registre des modes qui vont et viennent, le groupe « est » dans le champ psychanalytique un pôle à part entière, tant du point de vue théorique que pratique. Le groupe est objet théorique, il est terrain d’observations, il est lieu d’échanges et de changements, il est aussi espace de soin spécifique. Bien évidemment, on se doit de distinguer les groupes psychanalytiques animés par un psychanalyste, et les groupes à visée de prise en charge sociale ou thérapeutique, animés par un psychologue clinicien ou un psychanalyste mais dont les objectifs ne sont pas un travail psychanalytique, inscrit dès le départ, dans la demande. D’ailleurs, on constate que ce type de groupes fait très souvent appel à l’usage de médiations, qui sont facilitatrices du travail de transformation des représentations. Les groupes à médiation sont nombreux et variés, tant dans le domaine de la formation, que dans le domaine du soin. Ce qui est commun à tous les groupes à médiation c’est le rôle du support, qui médiatise la relation, par le biais de l’investissement d’un objet, par le sujet et par le groupe.

L’objet investi peut être l’image (Photolangage), le son (musicothérapie), le jeu (psychodrame), la pâte à modeler, la peinture, la sculpture, le dessin, diverses formes de matières, qui ont comme caractéristiques de pouvoir être investies par le sujet. Plus les publics concernés sont démunis dans leur capacité à mentaliser et à prendre la parole, plus les groupes à médiation sont précieux pour le praticien. Pour autant, il ne s’agirait pas de penser que les groupes analytiques sont réservés aux patients névrotiques et les groupes à médiation aux patients psychotiques ou aux publics les plus carencés. Les dispositifs changent, en fonction d’un nombre important de facteurs : la formation de l’animateur, le nombre des participants, l’objectif à atteindre, les capacités associatives des participants, le contexte institutionnel, et la durée de vie de groupe. En somme, chaque praticien se doit de choisir le dispositif le plus adapté, en fonction de ces différentes contraintes.

Une des différences et non des moindres, entre l’analyse en groupe et le groupe à médiation référé à la théorie psychanalytique c’est bien évidemment la place de l’interprétation. Si la demande de soin est prise en charge dans un groupe analytique dont l’animateur est analyste, il propose au groupe des interprétations concernant l’entité groupe, c’est-à-dire qu’il s’adresse au groupe et non à chacun des membres individuellement. Si l’animateur est analyste, mais utilise une technique médiatrice, il n’intervient que selon les règles du jeu spécifiques au dispositif qu’il assure. Ainsi, il respecte les règles du psychodrame, du Photolangage ou de la musicothérapie, chaque technique ayant ses modalités pour jouer.

Lier en interprétant, lier en jouant

En effet, pour le groupe à médiation ce n’est pas l’interprétation formulée au bénéfice du levier du transfert qui prime et qui est privilégiée, mais plutôt les échanges en groupe, qui ont une fonction de miroir pour le sujet, et qui sont aussi l’occasion d’échanges identificatoires, par le biais des échanges d’imaginaires. Ainsi, le groupe évolue et joue son rôle de transformation de sens, parce qu’il est le lieu de prédilection des productions imaginaires.

Dans le groupe, comme dans la cure, c’est avant tout à l’imaginaire produit qu’il est fait référence, comme reflet figuré d’une réalité fantasmatique sous-jacente, par essence même inconsciente. L’inconscient est mis en forme, en scène et en scénario dans l’imaginaire, c’est-à-dire dans l’instance psychique intermédiaire entre conscient et inconscient comme espace d’accueil et d’émergence de productions, en l’occurrence préconscientes. Tout groupe à médiation est un lieu de production, d’émergence et d’échange de représentations préconscientes. Ces représentations ont un statut intermédiaire entre les représentations conscientes et les représentations inconscientes. Elles ont comme particularité d’entrer dans la production de la chaîne associative individuelle et groupale, l’une alimentant l’autre et réciproquement. Le groupe fonctionne comme le rêve, dit D. Anzieu, et à ce titre, il effectue un véritable travail psychique élaboratif et intégratif. Le groupe, comme le rêve, cherche les voies de la figuration qui puissent alimenter la chaîne associative groupale, telle que propose de l’appeler R. Kaës. Cette chaîne associative condense, déplace, comme le rêve. Elle produit des images (processus primaire) mais aussi des idées (processus secondaire), des affects mais aussi des sentiments, lorsque ceux-ci sont liés aux mots, comme propose de le dire P. Aulagnier. Elle favorise le passage de la chose au mot, de la représentation de la chose à la représentation mise en mots.

La transformation des représentations

Le groupe analytique et le groupe à médiation ont ceci en commun qu’ils favorisent les processus de liaison entre processus primaires et processus secondaires. Ces liens sont facilités par le support d’imaginaire que représentent les objets médiateurs, et de ce fait deviennent objets de transformations, c’est-à-dire transformation des représentations. Il s’agit bien sûr des représentations de soi, qui évoluent dans le groupe, ainsi que les représentations de son environnement (familial, professionnel, social, politique...). Le groupe est un lieu de socialisation, certes, mais il va bien au-delà. Sans rappeler ce que pensait Foulkes qui y voyait le seul garant du maintien de la démocratie, disons que le groupe est l’indispensable espace de « psychisation ». Le groupe permet l’émergence des processus de pensée, car il est espace de rêverie, au sens où l’on a traduit la proposition de Bion par « capacité de rêverie de la mère ».

Le groupe, comme la mère, a une capacité de rêverie, qui assure les conditions d’émergence de la pensée du sujet. C’est ce qui a conduit R. Kaës à proposer l’équation groupe = mère = cadre, à la suite de J. Bleger. Le groupe, comme la mère, exerce une fonction de contention. Il contient les projections du sujet dans et sur le groupe, comme la mère supporte d’être le réceptacle des projections de l’enfant. Le groupe, comme la mère, transforme ces projections à l’état pulsionnel brut, en éléments intériorisables, c’est-à-dire en pensées représentables. Pour autant, le groupe, comme la mère n’est pas détruit, sa capacité de survie est remarquable. Il est cadre conteneur et contenant comme propose de le distinguer R. Kaës. Le groupe a une capacité de survie qui transcende ce que chaque sujet singulier peut supporter comme crise, comme rupture, ou menace anxiogène de séparation, voire de mort. Le groupe est enveloppe protectrice, frontière entre le dedans et le dehors, il se pense comme un tout, une entité autonome. Le groupe existe, à partir du moment où chacun de ses membres se représente à la fois, le tout, l’entité groupale, comme un ensemble vivant, et à partir du moment où il se sent membre de ce tout, partie prenante de l’ensemble. À ce titre, la fantasmatique du corps apparaît comme une fantasmatique organisatrice, fondatrice à la fois pour le sujet et pour le groupe.

Les fonctions organisatrices des fantasmes groupaux

Être membre d’un corps, dont un des individus accepte d’être la tête, secondé par un bras droit, qui garantissent l’esprit de corps, peuvent être quelques-unes des images, qui assurent au groupe sa consistance et ses fondements mêmes. Ainsi, dans sa fonction organisatrice fondamentale, la fantasmatique du corps apparaît comme une des composantes de l’organisation d’un appareil psychique à caractère groupal, aussi bien pour le sujet que pour le groupe. C’est en tout cas, ce que dégage de son travail de théorisation, R. Kaës, lorsqu’il met en évidence les organisateurs psychiques groupaux du côté de l’intra-psychique, mais bel et bien communs au sujet et au groupe. Le sujet s’appuie sur les représentations de son corps, comme le fait le groupe dans sa capacité à s’auto-représenter. Il en va de même des complexes familiaux, c’est-à-dire de l’organisation, qui structure dès l’origine le groupe familial comme lieu de rivalité, de conflits, d’alliances et d’identifications. Le sujet voit réactivé, dans le groupe, l’ensemble des complexités familiales qui l’ont structuré, dès sa naissance. Le groupe, comme la famille qui est groupe, favorise l’émergence et l’actualisation de toute la conflictualité psychique du sujet dans son histoire propre. La conflictualité psychique étant par essence même groupale, dès l’origine, le sujet la revit dans le groupe lui-même organisé selon les modes de conflits qui se retrouvent dans tout groupe, toute institution, tout regroupement humain. Le sujet est structuré comme un groupe, et le groupe revit les conflits inhérents au sujet singulier, dans la mesure où toute conflictualité psychique est par essence même groupale. Il en est ainsi de la conflictualité œdipienne, structure triangulée d’un groupe à trois, à la base même de toute organisation psychique.

De l’intrapsychique au socioculturel

Ces quelques pistes théoriques, développées dans la théorie de l’appareil psychique groupal par R. Kaës, n’épuisent pas tous les aspects de la groupalité du psychisme, celui du sujet et celui du groupe, ils ne sont que quelques aspects de cette approche. Il faudrait également évoquer tous les organisateurs qui ont un caractère socioculturel, et qui, eux aussi, réfèrent à la fois au sujet et au groupe. Comme cet auteur le montre dans plusieurs de ses textes, l’idéologie, l’utopie, la mythopoétique, sont communs au sujet et au groupe. L’idéologie mobilise la logique des instances idéales, l’idéalité du sujet et l’idéalité du groupe, tantôt se référant au Moi-idéal, tantôt en référence à l’Idéal du Moi. Dans le premier cas, le sujet, comme le groupe, sont menacés d’une idéologisation systématique, exclusive, frappée d’ostracisme, d’inclusion ou d’exclusion, dans une logique du tout ou rien, régie par le fantasme de toute-puissance. En revanche, le sujet et le groupe mobilisés par l’Idéal du Moi, sont référés aux objets idéalisés dans un processus d’identification secondaire. Ils supportent la différence, la différence des sexes et des générations, en particulier, ce qui sous-entend un certain travail psychique de deuil. Cette logique de l’idéal est celle qui permet au sujet, comme au groupe, de se sentir liés, groupés à partir de valeurs communes, investies idéalement, organisatrices de l’ensemble, lui assurant le goût de vivre, sans trop risquer de déprimer, ni de sombrer dans le rejet ou la fécalisation.

L’utopie revêt un caractère particulier de gestion de la crise du sujet et du groupe. Je propose d’évoquer dans l’histoire du sujet, le roman familial dont parle Freud, comme étant l’utopie individuelle nécessaire et indispensable à toute construction de la psyché. En effet, s’imaginer d’autres parents ou une autre famille, qui serait idéale, facilite chez le sujet le travail de deuil des parents idéalisés de la petite enfance, les parents œdipiens. L’ailleurs idéalisé se retrouve dans le groupe, chaque fois que celui-ci produit une utopie pour projeter dans un autre lieu, une autre cité, un autre espace paradisiaque, l’avenir meilleur auquel chacun aspire pour sortir de la crise.

Enfin, la phase de production mythopoétique révèle, dans le groupe, la capacité de chacun à accéder à un certain travail psychique de deuil de ses objets idéalisés, de ses illusions primitives de toute-puissance, et ainsi s’apparente au travail psychique que réalise le sujet dans la phase décrite par D.W. Winnicott dans l’accès au jeu. Le jeu et les phénomènes transitionnels sont ce qui signe le travail psychique de mentalisation, qui permet la capacité à s’illusionner, c’est-à-dire la capacité à jouer par sa pensée, et à se penser soi-même, en train d’en jouer.

C’est à ce même processus psychique qu’accède le groupe dans la phase mythopoétique, dans la mesure où il investit un objet culturel qui prend une fonction de transitionnalité, devient un objet investi par tous, commun à tous et de plus objet symboligène, qui soutient et sous-tend le travail psychique de deuil inhérent à toute vie psychique supportable et supportée, à tout processus de névrotisation finalement.

En somme, comme nous venons de le voir, le modèle théorique développé par D.W. Winnicott à la suite du travail de S. Freud dans l’Au-delà du principe de plaisir, et son intuition à propos du travail de mise en représentation de l’absence dans le jeu de l’enfant qui joue sous ses yeux avec une bobine, ce modèle au départ appliqué à la relation duelle mère-enfant, peut être élargi au groupe. En effet, le travail de théorisation proposé par R. Kaës à propos de l’appareil psychique groupal et des trois phases ou positions groupales dont nous venons de parler, est à mettre en perspective avec les trois phases décrites par D.W. Winnicott.

De la relation duelle à la relation groupale : le modèle du jeu

L’illusion du sujet et l’illusion groupale mobilisent les mêmes processus psychiques dans la relation à l’objet. L’utopie individuelle qui se manifeste dans le roman familial et l’utopie groupale sont également des tentatives pour sortir de la crise, enfin la capacité à s’illusionner grâce à l’investissement de l’objet transitionnel et la phase mythopoétique sont un seul et même processus psychique d’investissement d’un objet intermédiaire, qui a une fonction de transitionnalité, c’est-à-dire qu’il permet de trouver-créer du sens à partir d’un « déjà-là » préalablement disponible dans l’environnement du sujet et du groupe. Cette étape du fonctionnement psychique s’appuie sur la tolérance au paradoxe. Le sujet devient psychiquement vivant car l’autre lui prête son appareil à penser, c’est la capacité de rêverie de la mère dont parle W. Bion. De même il s’inscrit dans un processus de subjectivation dans le groupe du fait des échanges intersubjectifs, qui sont aussi des échanges identificatoires. Être ou devenir soi-même en empruntant aux autres pourrait être une manière de dire ce qui se joue dans la relation duelle, qui est du même ordre que ce qui se joue dans la situation groupale.

Après le concept d’Appareil psychique groupal

Ces quelques rappels nous permettent de prendre toute la mesure de l’importance considérable que représente d’un point de vue épistémologique, l’introduction dans la théorie, par R. Kaës, du concept d’Appareil psychique groupal. L’inconscient émerge d’un espace commun au sujet et au groupe, dans lequel il se structure, s’organise, se déploie et du même coup se révèle grâce à une émergence spécifiquement groupale. L’hypothèse ultime serait que l’inconscient naît du groupe, se structure groupalement dès l’origine, et se manifeste dans le groupe de façon telle qu’aucun autre dispositif ne puisse permettre d’en recueillir toutes les arcanes, avec autant d’acuité et d’actualisation possibles qu’un travail psychanalytique de groupe.

Conclusion

Le groupe a développé ses assises pratiques autant que ses assises heuristiques à travers les diverses écoles qui font de lui un objet permanent d’observations et de recherches et notre expérience contemporaine ne fait qu’en montrer la pertinence, sans cesse renouvelée tant pour la clinique au quotidien que pour les recherches théoriques, qui poussent toujours plus loin les limites de l’exploration du psychisme humain, dans sa complexité, mais aussi dans sa formidable capacité de survie. Telle n’est pas notre surprise en effet, chaque fois qu’un patient psychotique se remobilise psychiquement parlant. De même nos collègues gérontologues trouvent, en commun avec leurs patients, de grandes satisfactions à voir une personne âgée qualifiée de confuse pour ne pas dire démente, reconstruire son histoire et à travers elle ses repères identificatoires, grâce au groupe. Il est vrai que les groupes psychanalytiques sont plus limités, en nombre, en possibilité d’être appliqués, en dehors de la formation des spécialistes et du soin psychique de référence psychanalytique.

C’est la raison pour laquelle les groupes à médiation peuvent être d’un grand secours pour de très nombreux praticiens, que ce soit leur lieu d’exercice et leurs objectifs propres, du fait qu’ils s’appuient sur des dispositifs précis garantissant à la fois « le client » ou le patient dans le groupe. La permanence du groupe et sa capacité de contention, favorisent, par le travail psychique de mobilisation de l’imaginaire qu’ils activent, un travail de liaison créateur de sens, garant de la vitalité des pensées du sujet dans le groupe, et du groupe comme sujet, par l’intermédiaire des productions conscientes, préconscientes et inconscientes qu’ils ont en commun.

Bibliography

Anzieu D., 1968, La dynamique des groupes restreints, Paris, PUF, 4e édition, 1973.

Anzieu D., 1971, « De la méthode psychanalytique et de ses règles dans la situation analytique de groupe », Perspectives psychiatriques, IX, 33, p. 5-14.

Anzieu D., 1972, Le travail psychanalytique dans les groupes, Paris, Dunod, tome 1/2.

Anzieu D., 1973, « La fantasmatique de la formation psychanalytique », in R. Kaës et coll., Fantasme et formation, Paris, Dunod, p. 72-102.

Anzieu D., 1975, Le groupe et l’inconscient, Paris, Dunod.

Anzieu D., 1982, « Le psychodrame en groupe large : un dispositif pour l’analyse transitionnelle individuelle, groupale et institutionnelle », in R. Kaës et coll., Le travail psychanalytique dans les groupes, 2, les voies de l’élaboration, Paris, Dunod, p. 56-85.

Baptiste A., Bélisle C., et coll. 1991, Photolangage. Une méthode pour communiquer en groupe par la photo, sous la dir., Paris, Éd. d’Organisation.

Bion W.R., 1961, Recherches sur les petits groupes, Paris, PUF, 1965.

Bion W.R., 1962, Aux sources de l’expérience, Paris, PUF, 1979.

Freud S., 1912-1913, Totem und Tabu, GW 9, SE 13, tr. fr., Totem et tabou, Paris, Payot, 1947.

Freud S., 1921, Massenpsychologie une Ich-Analyse, GW 13, SE 18, tr. fr., « Psychologie des foules et analyse du Moi », in : Essais de psychanalyse, Paris, Payot, 1951, nouvelle trad., 1981, p. 117-217.

Kaës R., 1973, « Quatre études sur la fantasmatique de la formation et le désir de former », in R. Kaës et coll., Fantasme et formation, Paris, Dunod.

Kaës R., 1976a, L’appareil psychique groupal : constructions du groupe, Paris, Dunod.

Kaës R., 1976b, « L’analyse intertransférentielle », in R. Kaës et coll., Désir de former et formation du savoir, Paris, Dunod.

Kaës R., 1979, Crise, rupture et dépassement. Analyse transactionnelle en psychanalyse individuelle et groupale, Paris, Dunod.

Kaës R., 1980, Idéologie, études psychanalytiques, Paris, Dunod.

Kaës R., 1993, Le groupe et le sujet du groupe. Éléments pour une théorie psychanalytique du groupe, Paris, Dunod.

Kaës R., 1994, La parole et le lien. Processus associatifs dans les groupes, Paris, Dunod.

Néri C., 1997, Le groupe, Paris, Dunod.

Vacheret C., 1985, « Photolangage et thérapie », Psychologie médicale, 17, 9, p. 1353-1355.

Vacheret C., 1991, « Photolangage et travail clinique », in Baptiste A., Bélisle C. et coll., Photolangage. Une méthode pour communiquer en groupe par la photo, Paris, Éd. d’Organisation, p. 164-197.

Vacheret C., 1995, « Photolangage ou comment utiliser la photo en formation et en thérapie », Art thérapie, 52, p. 88-89.

References

Bibliographical reference

Claudine Vacheret, « Le groupe, objet de recherche et espace de soin », Canal Psy, 44 | 2000, 4-6.

Electronic reference

Claudine Vacheret, « Le groupe, objet de recherche et espace de soin », Canal Psy [Online], 44 | 2000, Online since 01 juin 2021, connection on 23 juillet 2025. URL : https://publications-prairial.fr/canalpsy/index.php?id=1199

Author

Claudine Vacheret

Maître de conférences à l’Université Lumière Lyon 2

Author resources in other databases

  • IDREF
  • ISNI
  • BNF

By this author

Copyright

CC BY 4.0