La revue juridique Droit Public Comparé – Comparative Public Law (DPC-CPL) a été créée en 2023 dans le but de développer et de faire rayonner la recherche française en droit public comparé et droit public étranger à l’échelle internationale. Elle répond à un manque éditorial en France, car il n’existait jusqu’à présent aucune revue entièrement consacrée à cette discipline, contrairement à d’autres pays comme l’Italie, l’Espagne ou les Pays-Bas. Le nombre croissant de thèses soutenues en France dans ce champ disciplinaire indique néanmoins qu’il existait un besoin d’une offre éditoriale spécialisée. L’objectif poursuivi est également de favoriser le dialogue entre universitaires français et étrangers sur des thématiques de droit public dont la pertinence et l’intérêt scientifique ne se cantonnent pas à un ordre juridique national.
La ligne éditoriale est très large, couvrant l’ensemble du droit public comparé. Les sujets abordés incluent les études de droit public étranger, la comparaison des droits nationaux et supranationaux, la circulation des modèles juridiques ainsi que les rapports de systèmes et la théorie du droit comparé. La revue accepte des approches variées, qu’elles soient théoriques, historiques, sociologiques, philosophiques ou linguistiques.
Plusieurs rubriques récurrentes ou ponctuelles structurent chaque numéro : un dossier thématique, la rubrique « L’esprit du droit… vu d’ailleurs », une rubrique interview, une rubrique traduction, une rubrique varia, ainsi qu’une rubrique recension.
En dehors des rubriques « L’esprit du droit… » et interview, les autres rubriques sont ouvertes aux contributions spontanées et extérieures de façon permanente, et chaque dossier thématique fait l’objet d’un appel à contribution spécifique.
La revue est en libre accès (open access). Cela signifie que tout son contenu est gratuit et librement disponible pour tous les utilisateurs. Ils peuvent lire, télécharger, copier, diffuser et imprimer les articles sans avoir à demander l’autorisation de l’éditeur ou de l’auteur. Cette politique est conforme aux principes de la Budapest Open Access Initiative.