Instructions aux auteurs

La soumission d’un article pour publication dans un numéro de la revue implique l’acceptation par l’auteur des conditions suivantes :

  • l’auteur cède gracieusement à UGA Éditions les droits d’exploitation relatifs à son œuvre ou sa contribution à titre non exclusif et autorise la diffusion de la version finale publiée de sa contribution en accès ouvert sous la licence Creative Commons CC‑BY‑SA 4.0 (ou le cas échéant une version plus récente de cette licence) : un contrat de cession de droits à titre non exclusif lui sera adressé si la publication est acceptée ;

  • en cas d’emprunt (texte, photographie, croquis…) fait à un ouvrage ou à un article, l’auteur doit obtenir préalablement les autorisations nécessaires et les remettre en même temps que son tapuscrit.

1. Éléments à fournir en entête du texte

Titre de l’article en français et en anglais.

— Rubrique choisie :

  • Analyse de dispositif didactique

  • Chantier de recherche

  • Récit réflexif d’expérience

— Pour chaque auteur ou autrice :

  • Prénom et NOM

  • Profession et poste occupé

  • Affiliation institutionnelle (école, établissement d’enseignement et laboratoire de rattachement, le cas échéant), conformément à la charte de signature de la tutelle

  • Courriel

— Un résumé (au moins 1000 caractères, espaces comprises) en français et en anglais.

NB. – Le résumé ne doit pas comporter d’appel de note, tout comme le titre de l’article.

5 à 10 mots-clés en français et en anglais.

2. Format numérique

— Deux versions numériques de l’article doivent être fournies : une au format Word (.docx) et une autre au format PDF.

— Toutes les pages doivent être numérotées.

— Nombre maximum autorisé de caractères selon la rubrique choisie :

  • Analyse de dispositif didactique : 50 000

  • Chantier de recherche : 40 000

  • Récit réflexif d’expérience : 30 000

Illustrations :

Toutes les illustrations, quelle que soit leur nature (figure, tableau), doivent être remises sous forme de fichiers joints et dans un format en haute résolution (300 dpi).

Chaque illustration doit être accompagnée d’un titre (éventuellement d’une légende et d’un crédit) et annoncée dans le texte par un numéro d’appel entre parenthèses (« fig. 1 », « fig. 2 », etc.).

Parmi les figures permettant d’illustrer les propos du texte (photographie, graphique, dessin, croquis…), plusieurs types de schémas sont envisageables :

  • les cartes mentales ou heuristiques, sketchnotes ou autres formes de modélisation ;

  • les frises chronologiques relatives à des processus (d’écriture, de constitution des collectifs, de mise en œuvre de projets, de développement professionnel dans le champ de la didactique de l’écriture).

3. Présentation et stylage du texte

— Pour la mise en forme de leur article, il est recommandé aux auteurs d’utiliser des feuilles de style qui permettent de structurer le document et faciliter ensuite sa mise en ligne.

Intertitres et sous-titres : pas de sauts de ligne avant et après. La hiérarchie doit être clairement indiquée par une numérotation ordinale selon le système international en vigueur (1, 1.1, 1.2… / 2, 2.1, 2.2… / 3…). En police Arial gras 14 pt pour les titres de rang 1 et Arial gras 12 pt pour les titres de rang 2.

Texte : justifié et rédigé en police Times New Roman Unicode 12 pt. Pas de gras, pas de soulignement ; seul l’usage de l’italique est admis si besoin.

Ne pas sauter de ligne entre les paragraphes et ne pas omettre d’accentuer les capitales (notamment des noms propres dans les bibliographies).

Citations :

La référence des citations (directes ou indirectes) doit toujours être mentionnée, à savoir le nom de l’auteur ou de l’autrice, la date de publication de la source documentaire référencée en bibliographie (ouvrage, article, recueil de données, entretien, compte rendu, bilan…) ainsi que la page (ou numéro du paragraphe s’il n’y a pas de pagination) dans le cas d’un extrait retranscrit intégralement.

  • Les citations courtes (moins de trois lignes, ou moins de 40 mots) : intégrées au texte courant, en romain et entre guillemets si elles sont en français, ou en italique et toujours entre guillemets pour les citations en langue étrangère.

  • Les citations longues (plus de trois lignes, ou plus de 40 mots) : mises en retrait, sans guillemets, en taille 11 pts, avec un interligne simple.

NB. – Les citations en langue étrangère doivent être accompagnées de leur traduction, placée de préférence en note de bas de page. Par ailleurs, les règles de ponctuation de la langue concernée doivent être respectées dans l’extrait cité.

Notes de bas de page : numérotées en chiffres arabes (comme les appels de note auxquels elles sont associées dans le corps du texte), justifiées et rédigées en taille 10 pts. Éviter les notes trop nombreuses et trop longues. Ne pas y introduire de tableaux.

4. Règles orthographiques

4.1. L’orthographe rectifiée

La revue Partages recommande l’application des rectifications orthographiques du français, dont les règles et la liste des mots concernés sont présentées sur le site <www.orthographe-recommandee.info/>. Un guide d’information est également téléchargeable à l’adresse suivante : <www.orthographe-recommandee.info/miniguide.pdf>.

NB. – L’orthographe d’origine doit être respectée dans le cas d’une citation intégrale. Il en est de même pour les titres d’ouvrages ou d’articles figurant en bibliographie.

4.2. L’écriture inclusive

Les auteurs et autrices sont libres de leurs choix en matière d’utilisation de formes inclusives.

Trois conventions d’écriture sont généralement préconisées : la féminisation des noms de fonctions, grades, métiers et titres ; l’usage du féminin et du masculin par la double flexion, l’épicène ou le point médian ; l’utilisation de termes englobants pour le pluriel.

On pourra également s’inspirer des propositions faites par la fédération Wallonie-Bruxelles dans son guide de bonnes pratiques en matière de rédaction inclusive.

4.3. Les sigles et acronymes

Les sigles1 et acronymes2 s’écrivent sans points abréviatifs entre les lettres.

CNRS et non C.N.R.S.

Ils sont à développer à la première occurrence dans le texte. Un usage parcimonieux est également recommandé.

5. Références bibliographiques (citations dans le corps du texte et en bibliographie finale)

Les références dans le corps du texte et en bibliographie finale obéissent aux normes APA en vigueur, consultables dans leur version française sur le site des bibliothèques de l’Université de Montréal.

5.1. Citation dans le texte

Pour insérer des références bibliographiques dans le texte courant, on utilise le système de référence Auteur + date de publication qui renvoie à une bibliographie en fin d’article. L’indication dans le texte est placée entre parenthèses ; elle comprend le nom de l’auteur et l’année de publication séparés par une virgule, ainsi que la ou les pages concernées, le cas échéant. Un suffixe (a, b, c…) est éventuellement accolé à l’année si la bibliographie contient plusieurs publications de l’auteur pour une même année, le suffixe étant attribué selon l’ordre d’apparition dans la bibliographie.

Exemples de références inscrites entre parenthèses :

(Bourdieu, 1980)
(Dabène, 1990, 1994)
(Bourdieu
et Passeron, 1964)
(Caws 
et al., 2021b, p. 130‑135)

>> Pour plus de détails, consulter les normes APA (7e edition, version française).

5.2. Citation en bibliographie finale

Les références bibliographiques en fin d’article sont listées par ordre alphabétique des noms d’auteurs, puis dans l’ordre chronologique de l’année de publication. Pour les références sans auteur et œuvres collaboratives, il convient de placer le titre en premier et de les classer en considérant la première lettre du premier mot significatif du titre, la mention « Anonyme » étant à proscrire.

>> Pour plus de détails, consulter les normes APA (7e edition, version française).

6. Rappel de quelques règles typographiques

Appel de note

L’appel de note dans un texte en français précède toujours la ponctuation, contrairement à la tradition angloaméricaine qui le place toujours après. Dans le cas d’une citation, il est placé avant le guillemet fermant.
Attention : s’il s’agit d’une phrase complète, le point final se place également avant le guillemet fermant.

Exemples :

Comment dois‑je placer cet appel de note1 ?

On peut aussi placer cet appel de note comme cela2

L’appel se place toujours ainsi3.

Le professeur leur dit : « Placez correctement cet appel4. »
[NB. – Lorsque la citation est introduite par un deux-points et constitue une phrase entière, le premier mot prend une capitale initiale et le point final est situé à l’intérieur des guillemets. L’appel de note portant sur la citation est placé ici avant le point final.]

Le professeur leur a demandé de « place[r] correctement cet appel5 ».
[NB. – Lorsque la citation est fondue dans le texte et ne constitue pas une phrase complète, le point final est situé à l’extérieur des guillemets et l’appel de note portant sur la citation est placé avant le guillemet fermant.]

Le professeur dit que l’« appel de note6 » est bien placé.

L’appel se place directement après le mot7 auquel il se rapporte.
[NB. – Il n’est jamais inscrit en italique (ou en gras) lorsqu’il suit un mot mis en italique (ou en gras).]

NB. – L’appel de note sera suivi d’un point final en fin de phrase, même s’il est précédé du point accompagnant un mot abrégé.

etc.8. / J.-C.9.

Guillemets

Dans un texte français, on emploie les guillemets typographiques en forme de chevrons (« ») pour une citation de premier rang et les guillemets anglais doubles (“ ”) pour une citation de deuxième rang.

Espace insécable

En français, il convient de mettre une espace insécable après le guillemet ouvrant («) et avant le guillemet fermant (»). Les deux-points, le point-virgule, le point d’exclamation, le point d’interrogation, les signes %, et °C sont également précédés d’une espace insécable.

Points de suspension

Les points de suspension3 sont accolés à la dernière lettre du mot qui les précède.

Pour indiquer une ellipse narrative (omission d’un ou plusieurs mots dans un extrait de texte cité), on privilégie les points de suspension mais insérés entre crochets « […] ».

Trait d’union et tirets

En français, on utilise le trait d’union pour indiquer des intervalles (contrairement à l’anglais qui utilise le tiret demi-cadratin4).

1914-1918 ; p. 154-158.

On emploie le tiret long (i.e. tiret cadratin)5 pour signaler une incise  comme celle-ci  au sein d’une phrase, suivi d’une espace insécable après le premier tiret et suivi d’une espace insécable avant le second. Le second tiret est supprimé avant un signe de ponctuation final.

Italique

L’italique est utilisé pour attirer l’attention du lecteur sur un mot, une expression ou un passage que l’auteur tient à souligner. Il est utilisé pour les expressions latines (abrégées ou non) et les mots étrangers ; en revanche, les noms de sociétés et organismes étrangers seront composés en romain.

Il est d’usage aussi d’employer l’italique pour citer le titre d’un journal, d’une revue, d’une œuvre littéraire ou artistique.

Majuscules

Limiter l’emploi des majuscules : la plupart des mots en français n’en prennent pas. Ne jamais écrire des mots entiers, des phrases, des titres en majuscules ou des noms propres en lettres capitales. N’utiliser les capitales que pour les sigles.

NB. – Pour les références bibliographiques en anglais, conformément aux normes APA, on ne met en majuscule que la première lettre du titre (et du sous‑titre, le cas échéant). S’il s’agit d’un ouvrage ou d’un article en français, seule la première lettre du titre sera en majuscule ; la première lettre du sous‑titre demeure en minuscule. La seule exception concerne les titres de revues en anglais, qui conservent la plupart du temps la première lettre de chaque mot significatif en majuscule.

Chiffres et dates

En français

Les nombres sont écrits en tranches de trois chiffres en partant de la droite, séparées par une espace insécable. Ex. : 850 753
Le séparateur décimal est une virgule. Ex. : 8 750,54
Pour indiquer une date, le mois devra être inscrit en toutes lettres.
Ex. : le 15 janvier 2015
(et non sous la forme suivante : 15/01/2015).
Les siècles sont inscrits en chiffres romains et en petites capitales, avec un e (en exposant) pour le suffixe « ième » et er (en exposant) pour le suffixe « ier ». Ex. : xixe siècle, ier siècle

En anglais

Les nombres sont écrits en tranches de trois chiffres en partant de la droite, séparées par une virgule. Ex. : 850,753
Le séparateur décimal est un point. Ex. : 8,750.54
Les mois et les jours de la semaine commencent par une majuscule.
On indiquera les dates selon l’usage britannique.
Ex. : Thursday, 15 January 2015
(et non selon l’usage américain : Thursday, January 15, 2015).
Les siècles sont inscrits en chiffres arabes et sans exposant. Ex. : 19th century

Notes

1 Abréviation formée par une suite de lettres qui sont les initiales d’un groupe de mots (ex. HLM). Retour au texte

2 Nom dont l’origine est un sigle, mais qui se prononce comme un mot ordinaire (ex. Unesco). Retour au texte

3 Pour obtenir les points de suspension, taper sur les touches Alt + ; sur Mac et Ctrl + Maj + Alt + ; sur PC. Retour au texte

4 Pour obtenir le tiret demi-cadratin (ou tiret court), taper sur les touches Alt + Maj + – sur Mac et Ctrl + - (pavé numérique) sur PC. Retour au texte

5 Pour obtenir le tiret cadratin, taper sur les touches Alt + – sur Mac et Ctrl + Alt + - (pavé numérique) sur PC. Retour au texte

Droits d'auteur

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