Comme nous vous l’avions annoncé, d’importants changements dans l’équipe FPP vont marquer la prochaine rentrée, inaugurant un mouvement de relève progressive au fil des prochaines années. Les deux départs à la retraite libèrent trois groupes. D’autre part, Liliane Memery, tout en nous manifestant de nouveau son attachement à la formule FPP et la satisfaction qu’elle a eue d’y travailler, souhaite pour des raisons de surcharge de travail y alléger son investissement, et glissera donc vers la prise en charge d’un module thématique.
En sens inverse, deux maîtres de conférences viennent d’être élus pour être affectés au département “Formation en Situation Professionnelle” pour une partie importante de leur service : Denis Mellier, et Patricia Mercader, qui assuraient cette année un module thématique et le remplaceront donc l’année prochaine par un groupe de base. Deux autres intervenants sont sollicités, qui ne nous ont pas encore donné leur réponse. L’un d’entre eux devrait permettre aux étudiants qui se retrouvent mieux dans des démarches proches de la psychologie cognitive de trouver un interlocuteur plus familiarisé avec leurs préoccupations que dans l’équipe actuelle.
Le projet de groupe à Grenoble, que nous avions cru cette fois bien parti, s’est encore enlisé pour un an. Il nous a semblé toutefois qu’une réelle ouverture s’était manifestée, et par conséquent nous continuons à le suivre. D’autre part, nous étudions la faisabilité d’un groupe basé à Genève, ou à proximité en territoire français, ce qui pourrait intéresser non seulement les étudiants de plus en plus nombreux qui viennent chaque mois de Suisse, mais aussi ceux de Haute-Savoie ou de Franche-Comté.
Dans un autre ordre d’idées, nous allons éditer incessamment un ouvrage collectif produit du groupe « Publication », qui a fonctionné plusieurs années sous la direction de Paul Fustier.
Enfin, nous envisageons pour la rentrée 95 le lancement d’un diplôme d’Université pluridisciplinaire de niveau 3e cycle, qui pourrait s’intituler Diplôme Universitaire de Recherche à Partir des Pratiques, et qui constituerait une alternative à la voie étroite du DEA pour ceux qui, déjà titulaires de la maîtrise, souhaitent conserver un lien avec l’Université pour mener des recherches.
Bon, vous voyez, ce n’est pas encore cette année qu’on s’endort tout à fait dans la routine. À bientôt pour les candidats à la session de juin. À un peu plus tard pour les autres…
