L’Éthologie : une autre méthode pour la psychologie ?

p. 10-12

Notes de la rédaction

Propos recueillis par Sabine Gigandon-Vallette.

Texte

Canal Psy : L’ARCI est co-éditeur d’une collection, avec les PUL (Presses Universitaires de Lyon). Qu’est-ce que l’ARCI ?

Jacques Cosnier : ARCI signifie « Applications de la Recherche sur la Communication et les Interactions ». C’est une association (loi 1901) de valorisation de la recherche. Elle a été créée il y a déjà quelques années à la demande d’étudiants et d’anciens étudiants, particulièrement en psychologie et en linguistique, qui trouvaient que ce que l’on enseignait dans le domaine des communications interindividuelles pouvait facilement déboucher sur des applications pratiques susceptibles de les préparer à la vie professionnelle. Comme l’application des recherches sur les interactions est extrêmement vaste, l’ARCI a orienté ses activités dans trois domaines, qui sont : d’une part des interventions en entreprises ou en institutions pour faire des diagnostics ou pour essayer d’améliorer les communications. Un second secteur est celui de la formation : l’ARCI participe à des formations de travailleurs sociaux, de médecins, de psychologues et autres, dont le métier a une fonction, disons communicative. Enfin il y a un troisième secteur de création de matériel audio-visuel. Par exemple nous avons créé des vidéos pour Lyon 2, pour la pédagogie et l’enseignement, pour l’illustration de recherches… Il comprend aussi la création et la publication de textes écrits, la collection « Éthologie et psychologie des communications » lancée avec l’aide des PUL en est un exemple actuel.

L’ARCI est donc une association fonctionnelle qui est là pour permettre aux étudiants de faire des stages et aussi aux enseignants de valoriser leurs recherches ; très connectée au départ avec l’Institut de la Communication et, actuellement, avec une unité de recherche du CNRS : le GRIC (Groupe de Recherche sur les Interactions Conversationnelles).

Jacques Cosnier, après des études de médecine, de psychologie, de biologie, et une formation psychanalytique a enseigné à Lyon, Beyrouth, Brazzaville, Nashville. Actuellement chercheur au Laboratoire d’Éthologie des Communications de l’URA, CNRS 1347, il est professeur émérite de l’Université Lumière et Président de l’ARCI. Ses recherches portent sur la pragmatique des communications, sur le rôle du non-verbal et sur les rapports du corps et de l’activité langagière.

Principaux ouvrages :
Les névroses expérimentales, Seuil, 1966
Clés pour la psychologie, Seghers, 1971, 1990
Psychologie des émotions et des sentiments, Retz, 1994

en collaboration :
Les voix du langage, Dunod, 1982
Corps et langage en psychanalyse, PUL, 1982
La communication non-verbale, Delachaux et Niestlé, 1984
Décrire la conversation, PUL, 1987
Échanges conversationnels, CNRS, 1988
Soins et communications, PUL, 1993

C.P. : Quelles sont les particularités de cette approche que vous appelez interactionniste, commune à l’ensemble de ces recherches et activités ?

J.C. : Communication, interaction, ce sont des termes qui aujourd’hui sont un peu fourre-tout et en même temps fédérateurs de chercheurs issus de différentes disciplines. Pour moi cet intérêt est venu par l’éthologie. En effet les comportements de communication interindividuelle sont parmi les plus importants dans la vie sociale des animaux sociaux, et donc aussi dans l’espèce humaine. Ce sont des comportements extrêmement importants à tous points de vue, tout le monde est d’accord pour le reconnaître aujourd’hui. Ce qui donne une certaine spécificité à l’approche interactionniste, c’est que nous abordons ces problèmes par des méthodes d’observation naturaliste. Autrement dit nous ne cherchons pas à faire des expérimentations pour vérifier des hypothèses préalables, mais nous allons sur le terrain pour observer ce qui s’y passe, exactement comme en éthologie. Ce type d’approche est un caractère très fondamental pour définir le mouvement interactionniste et d’ailleurs un des deux premiers livres de la collection est un ouvrage de méthodologie, présentant ces méthodes d’observation naturalistes en éthologie humaine. Ce livre s’adresse aux étudiants et chercheurs en psychologie, en sociologie, en anthropologie… à tous ceux qui ont à utiliser une méthode d’observation de terrain.

Un autre caractère du mouvement interactionniste – qui dépasse l’éthologie proprement dite et englobe plusieurs courants (l’ethnométhodologie, l’ethnographie des communications, la systémique de l’école de Palo-Alto, la pragmatique conversationnelle…) – est d’observer ce qui se passe entre les individus.

En fait cela regroupe beaucoup de chercheurs assez différents les uns des autres – certains viennent de la linguistique, les autres de la sociologie, d’autres de la psychologie… – mais tous ont en commun pour objet d’étude dans les différentes activités humaines, ce qui se passe sur le terrain et entre les individus. Cela avec des théories modestes. Je veux dire par là qu’on n’a pas des théories a priori, on ne cherche pas à démontrer quelque chose. On observe, on essaie de décrire de manière rigoureuse et de tirer des conclusions sur ce qui se passe. Cela permet de faire des suggestions sur ce qui pourrait mieux se passer, sur des alternatives qui n’étaient pas évidentes au départ.

Une telle approche « empirique » des situations quotidiennes pose parfois le problème de l’application de l’éthologie à l’espèce humaine. Le langage humain dépasse les systèmes de communication habituels des autres espèces animales, l’espèce humaine va pouvoir mettre en langage ce qui se passe, ce qu’elle ressent, utiliser un système de référence symbolique. Donc l’observation que nous faisons devient souvent observation participante. Quand on observe des éléphants ou des fourmis, bien que la présence de l’observateur ne soit pas non plus complètement neutre, elle est néanmoins extrêmement discrète et on fait attention à ne pas intervenir directement dans le système. Mais quand on observe des êtres humains, on est plus ou moins obligé, étant nous-même des êtres humains, d’intervenir par notre simple présence. L’observation participante existe depuis longtemps dans les méthodes classiques de la psychologie sociale et de la sociologie, mais nous nous efforçons d’y donner un autre sens : c’est moins l’observateur qui participe, puisqu’en tant qu’éthologues on participe le moins possible, mais on essaie par contre de faire participer l’observé à la recherche. Une fois que nous avons fait nos observations, on essaie, dans la mesure du possible de le faire coopérer à l’interprétation de ce qui a été observé. Ce n’est pas une participation du chercheur à l’action, ce qui dérive vite sur des manipulations du milieu, mais participation de l’observé à la recherche, à l’interprétation et à l’utilisation des résultats. Bien sûr, en ce sens, on fait de la recherche-action, parce que toute recherche est une action sur le milieu, mais nous n’essayons pas de modifier le milieu. L’éthologie et l’attitude interactionniste renvoient au milieu sa propre image, qui était bien sûr préexistante, mais qui n’était pas forcément perçue par ses acteurs. En étudiant la vie quotidienne, on montre ce que tout le monde savait sans le savoir. Les gens disent « ah oui, bien sûr ! ». Mais les choses prennent un autre relief car on modifie leur cadre d’appréhension. En utilisant les enregistrements vidéo, on montre tout ce qui se passe dans une communication. Par exemple la communication non-verbale reprend toute son importance, car la communication est toujours multicanale, elle n’utilise pas que le langage verbal. On montre aussi que l’objet principal de la communication n’est pas forcément celui qu’on croit. La bonne question pour comprendre une interaction n’est pas pour nous « qu’est-ce qui se dit ? » mais « qu’est-ce qui se fait ? »

C.P. : Comment vous situez-vous par rapport à la psychologie ?

J.C. : Et par rapport à la sociologie, à l’anthropologie, etc. Ma conception est que l’éthologie ne se situe pas en parallèle à toutes ces disciplines, mais qu’elle leur est transversale. C’est-à-dire que chacune d’elles utilise pour une partie l’éthologie quand on y fait de l’observation naturaliste. Il est évident par exemple, que toute la psychologie du développement de l’enfant est très largement, ces dernières années, basée sur l’observation éthologique : toutes les études d’interactions précoces, etc. Un des premiers à avoir introduit cela, c’est René Spitz, qui en était parfaitement conscient ; il avait beaucoup fréquenté Lorenz dont il était un ami. Ses premiers ouvrages sont explicitement éthologiques, tout en restant spécifiquement psychanalytiques. On pourrait citer les études qui ont été faites ensuite : Lebovici, Stern, Montagner

Pour ce qui est de la clinique de l’adulte, cela pose directement le problème de la recherche en clinique. D’une certaine manière, la situation psychanalytique se rapproche plus de l’expérimentalisme que du naturalisme, dans la mesure où les conditions sont volontairement standardisées. Mais à partir de cette standardisation qui est d’essence expérimentale, pourrait-on dire, ce qui s’y passe est de l’ordre de l’éthologie : on observe ce qui survient. L’attention flottante dont parlait Freud, c’est exactement l’attitude éthologique : ne pas avoir d’idée préconçue sur ce qui va se passer. Mais bien sûr si l’attitude est éthologique, la théorisation ne se fait pas en termes éthologiques, puisqu’elle va rapporter les dires et les interpréter dans le système de la métapsychologie psychanalytique.

Si on quitte la psychanalyse pour passer à d’autres situations cliniques, telles que les thérapies systémiques, les inspirations éthologiques sont beaucoup plus explicites. Grégory Bateson qui est l’inspirateur de ces thérapies était lui-même un des premiers éthologues humanistes. Il a fait des études de biologie. Ses premières publications portaient d’ailleurs sur les animaux. Puis ses premiers travaux d’observation des relations mère-enfant à Bali et aux îles Samoa étaient complètement éthologiques, il le savait très bien. C’est à partir de là que ses élèves ont créé l’approche systémique et tout le mouvement de Palo-Alto est né de ses idées et de ses observations. Bateson était allé en tant qu’éthologue, observer les patients d’un hôpital psychiatrique et filmer des interactions pour les dépouiller en micro-analyse. Pour moi l’éthologie est par excellence une méthode à utiliser en psychologie clinique1. Bien sûr, la clinique peut avoir une partie expérimentale, mais l’essence de la clinique se rapproche beaucoup plus de la méthode naturaliste : c’est-à-dire partir sans avoir de préjugé et ne pas vouloir démontrer quelque chose à l’avance. Cela n’exclut pas la rigueur dans la prise des données et dans leur traitement. C’est ce que l’on expose dans le livre de méthodologie.

PRESSES UNIVERSITAIRES DE LYON

ÉTHOLOGIE ET PSYCHOLOGIE des communications
Directeurs de collection D. Bourgain & J. Cosnier

ÉTHOLOGIE DES COMMUNICATIONS HUMAINES
aide-mémoire méthodologique
sous la direction de Robert Plety

SOINS ET COMMUNICATION
Comment pratiquer l’observation et l’étude des phénomènes de communication ou d’interaction en satisfaisant aux exigences d’objectivité et de rigueur qui caractérisent toute démarche scientifique ?
Tel est le problème rencontré par une équipe de chercheurs en éthologie humaine qui s’y sont trouvés confrontés et livrent ici leur expérience. Leur travail permet de dégager une méthodologie générale, avec ses règles, touchant la saisie des observables, leur transcription, l’analyse et la modélisation des résultats obtenus.
Il aborde également à travers des exemples variés les problèmes spécifiques affairant aux domaines respectifs de la vocalité, de la verbalité et de la gestualité. Cet ouvrage, à visée pratique, ne prétend pas être exhaustif. Il voudrait être un guide dans la conduite de ce type de recherche où les faux pas sont souvent onéreux particulièrement en temps perdu…

Approches interactionnistes des relations de soins
sous la direction de J. Cosnier, M. Grosjean, M. Lacoste
Quel rôle les dimensions communicatives jouent-elles dans les relations entre soignants et malades et entre les soignants eux-mêmes ?
Dans une série de recherches centrées sur les interactions sociales en milieu hospitalier, des professionnels de la santé et des chercheurs de diverses disciplines explorent la vie hospitalière sous l’angle de la vie sociale qui s’y construit et du travail collectif qui s’y déploie : place et rôle du malade dans la relation de soins, interactions soignants/soigné, coopération au sein des équipes.
Fondées sur une observation précise des situations, s’intéressant particulièrement au langage, aux communications non verbales, à l’organisation des espaces, ces études décrivent les modes et les stratégies de communication, les mécanismes d’incompréhension en jeu et tentent d’éclairer les origines possibles des malentendus et les causes de certains dysfonctionnements dans la relation de soins.

C.P. : Dans le deuxième ouvrage, pourquoi avoir choisi de parler du soin ?

J.C. : L’hôpital, le cabinet de consultation, voilà un beau terrain d’étude : qu’est-ce qui s’y passe ? Bien sûr dans des situations de soin, il y a déjà un organigramme et un script officiel. En ce sens tout le monde sait ce qui s’y passe : on va chez le médecin pour parler de sa santé ; le médecin fait un diagnostic et prescrit un traitement. Ça c’est ce qui se passe officiellement, mais comment ça se passe réellement ? La mise en scène est déjà donnée, pour reprendre la métaphore de Goffmann, les rôles sont déjà distribués mais comment les gens jouent-ils ces rôles-là ? Le texte est à inventer à chaque fois, même si la trame est déjà donnée, le scénario déjà prescrit. Beaucoup de choses importantes se découvrent donc dans l’observation, et en particulier cela met en évidence des dysfonctionnements de la communication, à cause de l’angoisse, à cause des préjugés, à cause des mécanismes de défense, des aménagements de l’écoute et de la non-écoute…

On a donc observé des espaces thérapeutiques. Or pour qu’ils soient thérapeutiques, la communication a une extrême importance puisque le soin passe par des interactions entre les individus. Entre patients et soignants, mais aussi entre les soignants entre eux et entre les patients entre eux. Ces dernières relations sont souvent oubliées or elles ont un rôle capital. Dans certains services si certains patients sauvent leur peau, ce n’est pas grâce au personnel soignant, mais grâce aux autres malades qui les ont, en fait, pris en charge au niveau du « savoir être malade » dans ce service : interpréter ce qui se passe, ce qu’il faut faire, de quoi il faut s’inquiéter… Le métier de malade est souvent enseigné par les autres malades. Ce n’est pas seulement une préparation psychologique, qui sécurise le malade – qui peut aussi l’inquiéter d’ailleurs – c’est aussi d’ordre tout à fait fonctionnel et thérapeutique. C’est d’autant plus important aujourd’hui où la technologie et l’hyperspécialisation prennent une telle place, la communication n’est pas le principal objet de ce qui se passe dans les services. Si bien d’ailleurs qu’on a d’autant plus de chance d’être mal soigné qu’on n’a pas une maladie grave !

Un groupe de chercheurs interactionnistes s’était trouvé réuni à Lyon pour un colloque sur « éthologie et interactions de soins » et cela a débouché sur ce livre. Mais c’est un terrain d’application parmi d’autres. Évidemment du fait que j’ai été médecin, cela m’intéresse plus particulièrement, mais ce n’était pas la peine d’être médecin pour le faire. De même parmi les co-auteurs, il y a Michèle Grosjean qui est maître de conférences en psychologie à Lyon 2 et qui a été sage-femme, il y a aussi la contribution d’une infirmière qui a fait l’école des cadres… L’étude d’un milieu est facilitée par le fait qu’on y a vécu, qu’on y a eu une action prolongée, mais ce n’est pas indispensable. On peut très bien débarquer sur un terrain et on voit beaucoup de choses d’un œil neuf. Ceci dit, il faut toujours un certain temps, tous les chercheurs de terrain le savent, pour pénétrer un milieu.

C.P. : Quels seront les sujets des prochaines publications ?

J.C. : Il y a plusieurs ouvrages en perspective. Il y en a un, actuellement en finition, sur l’apprentissage réciproque. L’apprentissage réciproque c’est le fait que lorsqu’on met des étudiants ou des élèves ensemble autour d’une tâche, l’apprentissage n’est pas le même que dans une situation avec un maître et des élèves séparés. Robert Plety a étudié dans sa thèse la question du groupe et de la facilitation de l’apprentissage en groupe. Il montrera dans son livre comment, pourquoi, par quels moyens cela se passe comme ça…

Un autre ouvrage, presque terminé, a été réalisé sur la communication avec les enfants sourds, c’est un thème qui est devenu d’actualité grâce aux sourds eux-mêmes. Nicole Tagger a donc fait un petit ouvrage sur comment les entendants peuvent communiquer avec les enfants sourds, ce qu’il faut faire et ne pas faire, etc.

D’autres livres s’annoncent : un petit manuel sur les communications interindividuelles ; un autre qui serait consacré à l’éthoanthropologie des communications quotidiennes (ce serait un ouvrage de psychologie sociale sur les interactions de la vie courante) ; enfin un autre qui serait bienvenu sur les applications thérapeutiques, que ce soit en psychanalyse ou en thérapie systémique, ou encore dans des méthodes de développement personnel telles que la Programmation Neuro-Linguistique, l’Analyse Transactionnelle. Nous pouvons, à travers nos grilles d’observation, formuler autrement ce qui se passe dans ces thérapies, ce qui les fait fonctionner. En ce sens nous pouvons y apporter de nouveaux cadrages utiles aux praticiens eux-mêmes.

Un dernier ouvrage qui serait intéressant porterait sur le corps, la danse-thérapie… où les échanges non-verbaux sont tout à fait importants. Le corps est continuellement en action. On parle avec son corps. Cela pourrait aboutir à des publications sur le problème du corps comme agent de communication. À la fois comme porteur de message, mais aussi dans l’activité énonciatrice corporelle, en voyant quel est son rôle dans la régulation psycho-physiologique2.

Des émotions et des sentiments

Dans cet ouvrage, Jacques Cosnier fait une mise au point sur la question des émotions telle qu’elle se pose actuellement. Il utilise pour cela une vaste documentation internationale et les résultats de ses propres recherches. Il y privilégie bien sûr le point de vue interactionniste dont les sources se trouvent, selon lui, aussi bien dans Darwin que dans Freud. Sont ainsi abordés les « émotions de bases », les sentiments, l’éthologie des affects quotidiens, le contrôle des émotions et son échec…

Psychologie des émotions et des sentiments, éditions Retz, 1994.

Notes

1 Sur cette question se référer à l’article de J. Cosnier, « L’approche éthoanthropologique des communications humaines et quelques-unes de ses incidences sur la clinique », in Bulletin de Psychologie, Tome 38, no 370.

2 J. Cosnier vient de publier un livre sur les émotions. Voir encadré ci-dessous.

Citer cet article

Référence papier

Jacques Cosnier et Sabine Gigandon-Vallette, « L’Éthologie : une autre méthode pour la psychologie ? », Canal Psy, 10 | 1994, 10-12.

Référence électronique

Jacques Cosnier et Sabine Gigandon-Vallette, « L’Éthologie : une autre méthode pour la psychologie ? », Canal Psy [En ligne], 10 | 1994, mis en ligne le 02 septembre 2021, consulté le 17 août 2025. URL : https://publications-prairial.fr/canalpsy/index.php?id=353

Auteurs

Jacques Cosnier

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