Et puis arriva le Sudoc ! Nous y fûmes admis (grâce à l’université Jean-Monnet de Saint-Étienne et à Brise), en même temps que ce même Brise, notre réseau local, se brisait en deux ; c’est la vie ! Et le prix à payer pour notre grande efficacité (je parle de notre profession en général) et notre si petite visibilité (cf. l’an dernier avec l’épisode « Agences de l’État ») qui nous rendent parfois incompréhensibles, voire d’une utilité relative auprès de nos « décideurs » et de ceux qui nous utilisent sans même le savoir.
Le Sudoc : une (r)évolution ; une grande fenêtre qui s’est ouverte, du temps gagné dans notre travail de fourmis et d’abeilles et une construction pierre après pierre grâce à tous les participants- maçons et architectes. De loin, ça bourdonne comme une ruche et, chaque année, aux « Jabes », on ne peut que saluer tout l’accompli de l’année écoulée, et non plus seulement avec le catalogue, mais aussi avec toutes les autres applications, et on court encore !
Bravo donc ! Et même si, dans la salle, je suis le petit roquet qui jappe toujours : « Les Écoles ! Les Écoles ! », essayant d’attirer l’attention sur nous, les petits parmi les petits, avec leurs spécificités, leur richesse et leurs petites jambes… mais on a dû finir par s’y habituer, puisque maintenant l’exception française (encore une, comme dans la langue !) est prise en compte, que vous élargissez le cercle et prononcez le mot pratiquement naturellement […].
Bon anniversaire et longue vie, ou belle mue, qui sait ?