Après une livraison tournée vers la documentation universitaire en sciences humaines en général, ce numéro d’été d’Arabesques y revient pour s’intéresser, plus précisément, à des domaines des sciences de l’homme par excellence, l’art et l’archéologie. Thèmes impressionnants par leur immensité et leurs mystères, pour qui n’est pas spécialiste. De plus, il s’agit de traiter de ces disciplines en les associant aux nouvelles technologies et, en particulier, au Système universitaire de documentation ! Plusieurs articles démontrent que certains ont risqué l’entreprise avec succès.
Par ordre d’entrée en scène…
La Bibliothèque Mazarine, édifiée au xviie siècle, vient de numériser le décor de ses manuscrits enluminés.
À Toulouse, Bordeaux et Montpellier : les arts et l’archéologie sont, évidemment, présents dans ces trois villes universitaires… et donc les questions documentaires afférentes aussi. Pour Lyon, il est signalé dans ces pages, l’importance de la bibliothèque d’arts et lettres de Lyon-II – dont le SCD fut « site pilote » du Système universitaire de documentation – ainsi que tout l’intérêt de la documentation en archéologie de la Maison de l’Orient et de la Méditerranée.
Enfin, ce numéro d’Arabesques fait, bien sûr, la part belle au tout dernier-né des établissements du domaine, l’INHA, l’Institut national d’histoire de l’art, et particulièrement à son « département de la bibliothèque et de la documentation ».