Aller au contenuAller au menuAller à la recherche
  • Plateforme prairial
  • Accueil
  • Catalogue des revues
Bulletin des arrêts de la Cour d'appel de Lyon

Menu principal

Numéros en texte intégral

  • Juil. 2020 - fév. 2021
  • Mars - sept. 2020
  • Juil. 2019 - fév. 2020
  • Janv. 2019-juin 2019
  • Juil. 2018-déc. 2018
  • Oct. 2017-juin 2018
  • Oct. 2016-sept. 2017
  • Janv.-sept. 2016
  • Juil.-déc. 2015
  • Janv.-juin 2015
  • Juin-déc. 2014
  • Janv.-juin 2014
  • Juin-déc. 2013
  • Janv.-juin 2013
  • Juil.-déc. 2012
  • Janv.-juin 2012
Tous les numéros

Thèmes

  • Droit de l’immobilier
  • Droit des affaires
  • Droit des assurances
  • Droit des contrats d'affaires
  • Droit des contrats spéciaux civils
  • Droit des personnes et de la famille
  • Droit des sociétés
  • Droit du travail
  • Droit international privé
  • Droit patrimonial de la famille
  • Droit pénal
  • Études
  • Procédure civile et voies d’exécution
  • Procédures collectives
  • Propriété intellectuelle
  • Protection sociale
  • QPC
  • Responsabilité civile

Index

  • Auteurs
  • Mots-clés

Informations

  • Contacts
  • Comités
  • Politiques de publications
  • Recommandations aux auteurs
  • Crédits et informations légales

Affiliations/partenaires

  • Logo du site Logo ELJ
  • Logo du site Logo Lyon 3 UDL

Douglas Debost

    • Douglas Debost

      Rappel : seul le débiteur a qualité pour demander l’ouverture d’un mandat ad hoc

      Le mandat ad hoc est né de la pratique prétorienne, plus précisément de celle des tribunaux de commerce de Carcassonne et de Paris dans les années 1980 (C. Schmitt, « La conciliation. Aspects pratiques », RPC 2006, p. 178), le président du tribunal de commerce considérant alors qu’il devait proposer une solution aux entreprises en difficulté.

      Ce n’est que par la loi du 10 juin 1994 que le mandat ad hoc a été consacré et codifié dans le Code de ...

    • Douglas Debost

      Irrecevabilité de l’action en extension postérieure à l’arrêté d’un plan de cession : point de vue critique

      L’article L. 621-2 du Code de commerce permet de reconstituer la réalité économique de l’entreprise en difficulté, par l’action en extension de procédure, en démontrant la fictivité d’une société ou une confusion de patrimoines. Si, initialement, la limite temporelle posée par la Cour de cassation était la clôture de la procédure (Com., 11 juil. 1995, n° 93-15.525), elle a ensuite érigé en limite l’arrêté d’un plan de cession (Com., 22 oct. 19...

Retour à l’index

ISSN électronique 2607-866X

  • Plan du site
  • Contacts
  • Comités
  • Politiques de publications
  • Recommandations aux auteurs
  • Crédits et informations légales
  • Conception : Chapitre neuf
  • Édité avec Lodel
  • Accès réservé