Aller au contenuAller au menuAller à la recherche
  • Plateforme prairial
  • Accueil
  • Catalogue des revues
Bulletin des arrêts de la Cour d'appel de Lyon

Menu principal

Numéros en texte intégral

  • Juil. 2020 - fév. 2021
  • Mars - sept. 2020
  • Juil. 2019 - fév. 2020
  • Janv. 2019-juin 2019
  • Juil. 2018-déc. 2018
  • Oct. 2017-juin 2018
  • Oct. 2016-sept. 2017
  • Janv.-sept. 2016
  • Juil.-déc. 2015
  • Janv.-juin 2015
  • Juin-déc. 2014
  • Janv.-juin 2014
  • Juin-déc. 2013
  • Janv.-juin 2013
  • Juil.-déc. 2012
  • Janv.-juin 2012
Tous les numéros

Thèmes

  • Droit de l’immobilier
  • Droit des affaires
  • Droit des assurances
  • Droit des contrats d'affaires
  • Droit des contrats spéciaux civils
  • Droit des personnes et de la famille
  • Droit des sociétés
  • Droit du travail
  • Droit international privé
  • Droit patrimonial de la famille
  • Droit pénal
  • Études
  • Procédure civile et voies d’exécution
  • Procédures collectives
  • Propriété intellectuelle
  • Protection sociale
  • QPC
  • Responsabilité civile

Index

  • Auteurs
  • Mots-clés

Informations

  • Contacts
  • Comités
  • Politiques de publications
  • Recommandations aux auteurs
  • Crédits et informations légales

Affiliations/partenaires

  • Logo du site Logo ELJ
  • Logo du site Logo Lyon 3 UDL

Elodie Tournier

    • Elodie Tournier

      Crédit-bail immobilier et sous-location : appréciation in concreto de l’application du statut des baux commerciaux

      1. Dans cette affaire, la question soumise à la cour d’appel de Lyon était celle du régime juridique de la relation contractuelle entre un crédit-preneur et son sous-locataire - ou sous-occupant.

      L’enjeu de la question était celle de l’applicabilité éventuelle du statut des baux commerciaux, et, par anticipation en matière contentieuse, celle de la compétence juridictionnelle découlant nécessairement de ce statut.

      2. Les faits sont relativement ...

    • Elodie Tournier

      Le lobby est un agent d’affaires, pas un agent commercial

      1. La question soumise à la cour d’appel de Lyon était celle de la nature, civile ou commerciale, d’un contrat de lobbyiste, dont la réponse déterminait la juridiction compétente.

      Le débat sur la compétence d’une juridiction est toujours paradoxal en ce qu’il impose nécessairement au juge d’examiner les termes du litige qui lui sont soumis, et donc d’y porter une appréciation à tout le moins incidente, pour déterminer s’ils entrent, ou non, da...

Retour à l’index

ISSN électronique 2607-866X

  • Plan du site
  • Contacts
  • Comités
  • Politiques de publications
  • Recommandations aux auteurs
  • Crédits et informations légales
  • Conception : Chapitre neuf
  • Édité avec Lodel
  • Accès réservé